(verlaine) ▽ Il pleure dans mon cœur Comme il pleut sur la ville, Quelle est cette langueur Qui pénètre mon cœur ?
Lorsque, par un décret des puissances suprêmes, Le Poète apparaît en ce monde ennuyé, Sa mère épouvantée et pleine de blasphèmes Crispe ses poings vers Dieu, qui la prend en pitié : - " Ah ! que n'ai-je mis bas tout un noeud de vipères, Plutôt que de nourrir cette dérision ! Maudite soit la nuit aux plaisirs éphémères Où mon ventre a conçu mon expiation ! Puisque tu m'as choisie entre toutes les femmes Pour être le dégoût de mon triste mari, Et que je ne puis pas rejeter dans les flammes, Comme un billet d'amour, ce monstre rabougri, Je ferai rejaillir ta haine qui m'accable Sur l'instrument maudit de tes méchancetés, Et je tordrai si bien cet arbre misérable,Qu'il ne pourra pousser ses boutons empestés ! " Elle ravale ainsi l'écume de sa haine, Et, ne comprenant pas les desseins éternels, Elle-même prépare au fond de la Géhenne Les bûchers consacrés aux crimes maternels. Pourtant, sous la tutelle invisible d'un Ange, L'Enfant déshérité s'enivre de soleil, Et dans tout ce qu'il boit et dans tout ce qu'il mange Retrouve l'ambroisie et le nectar vermeil. Il joue avec le vent, cause avec le nuage, Et s'enivre en chantant du chemin de la croix ; Et l'Esprit qui le suit dans son pèlerinage Pleure de le voir gai comme un oiseau des bois. Tous ceux qu'il veut aimer l'observent avec crainte, Ou bien, s'enhardissant de sa tranquillité, Cherchent à qui saura lui tirer une plainte, Et font sur lui l'essai de leur férocité. Dans le pain et le vin destinés à sa bouche Ils mêlent de la cendre avec d'impurs crachats ; Avec hypocrisie ils jettent ce qu'il touche, Et s'accusent d'avoir mis leurs pieds dans ses pas. Sa femme va criant sur les places publiques : " Puisqu'il me trouve assez belle pour m'adorer, Je ferai le métier des idoles antiques, Et comme elles je veux me faire redorer ; Et je me soûlerai de nard, d'encens, de myrrhe, De génuflexions, de viandes et de vins, Pour savoir si je puis dans un coeur qui m'admire Usurper en riant les hommages divins ! Et, quand je m'ennuierai de ces farces impies, Je poserai sur lui ma frêle et forte main ; Et mes ongles, pareils aux ongles des harpies, Sauront jusqu'à son coeur se frayer un chemin. Comme un tout jeune oiseau qui tremble et qui palpite, J'arracherai ce coeur tout rouge de son sein, Et, pour rassasier ma bête favorite, Je le lui jetterai par terre avec dédain ! " Vers le Ciel, où son oeil voit un trône splendide, Le Poète serein lève ses bras pieux, Et les vastes éclairs de son esprit lucide Lui dérobent l'aspect des peuples furieux : - " Soyez béni, mon Dieu, qui donnez la souffrance Comme un divin remède à nos impuretés Et comme la meilleure et la plus pure essence Qui prépare les forts aux saintes voluptés ! Je sais que vous gardez une place au Poète Dans les rangs bienheureux des saintes Légions, Et que vous l'invitez à l'éternelle fête, Des Trônes, des Vertus, des Dominations. Je sais que la douleur est la noblesse unique Où ne mordront jamais la terre et les enfers, Et qu'il faut pour tresser ma couronne mystique Imposer tous les temps et tous les univers. Mais les bijoux perdus de l'antique Palmyre, Les métaux inconnus, les perles de la mer, Par votre main montés, ne pourraient pas suffire A ce beau diadème éblouissant et clair ; Car il ne sera fait que de pure lumière, Puisée au foyer saint des rayons primitifs, Et dont les yeux mortels, dans leur splendeur entière, Ne sont que des miroirs obscurcis et plaintifs ! " ► BAUDELAIRE
(c) AMIANTE
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<link href='http://fonts.googleapis.com/css?family=Megrim' rel='stylesheet' type='text/css'><center><div style="width:500px; min-height:300px; background-color:#999999; border-radius:30px; box-shadow:0px 2px 10px #666666"> <div style="font-family:'Megrim'; font-size:42px; color:black; text-transform:uppercase; padding-bottom:10px;">ton titre ici</div><div style="border-bottom: dashed 1px #666666; width:480px; margin-bottom:8px;"></div><div style="width:480px; min-height:300px; background-color:#cccccc; border-radius:10px;"><div style="font-family:MS Mincho; font-size:17px; line-height:14px; text-transform:uppercase; padding-top:5px; padding:10px; color:black; text-align:justify;"><img src="http://24.media.tumblr.com/tumblr_ma3sp3g5Eg1r1z303o1_500.jpg" style="border-radius:10px; width:460px;"/> <br>[i](verlaine)[/i] ▽ Il pleure dans mon cœur Comme il pleut sur la ville, Quelle est cette langueur Qui pénètre mon cœur ? </div><div style="float: left; padding-left: 10px; padding-right: 5px; padding-bottom: 3px; padding-top: 8px; "><img src="http://24.media.tumblr.com/tumblr_mcj0hkXlod1qj73e2o1_500.gif" style="width:215px; border:1px solid #666666; padding:2px"></div><div style="font-family:arial; font-size:12px; line-height:11px; text-align:justify; padding:10px; color:#666666">Lorsque, par un décret des puissances suprêmes, Le Poète apparaît en ce monde ennuyé, Sa mère épouvantée et pleine de blasphèmes Crispe ses poings vers Dieu, qui la prend en pitié : - " Ah ! que n'ai-je mis bas tout un noeud de vipères, Plutôt que de nourrir cette dérision ! Maudite soit la nuit aux plaisirs éphémères Où mon ventre a conçu mon expiation ! Puisque tu m'as choisie entre toutes les femmes Pour être le dégoût de mon triste mari, Et que je ne puis pas rejeter dans les flammes, Comme un billet d'amour, ce monstre rabougri, Je ferai rejaillir ta haine qui m'accable Sur l'instrument maudit de tes méchancetés, Et je tordrai si bien cet arbre misérable,Qu'il ne pourra pousser ses boutons empestés ! " Elle ravale ainsi l'écume de sa haine, Et, ne comprenant pas les desseins éternels, Elle-même prépare au fond de la Géhenne Les bûchers consacrés aux crimes maternels. Pourtant, sous la tutelle invisible d'un Ange, L'Enfant déshérité s'enivre de soleil, Et dans tout ce qu'il boit et dans tout ce qu'il mange Retrouve l'ambroisie et le nectar vermeil. Il joue avec le vent, cause avec le nuage, Et s'enivre en chantant du chemin de la croix ; Et l'Esprit qui le suit dans son pèlerinage Pleure de le voir gai comme un oiseau des bois. Tous ceux qu'il veut aimer l'observent avec crainte, Ou bien, s'enhardissant de sa tranquillité, Cherchent à qui saura lui tirer une plainte, Et font sur lui l'essai de leur férocité. Dans le pain et le vin destinés à sa bouche Ils mêlent de la cendre avec d'impurs crachats ; Avec hypocrisie ils jettent ce qu'il touche, Et s'accusent d'avoir mis leurs pieds dans ses pas. Sa femme va criant sur les places publiques : " Puisqu'il me trouve assez belle pour m'adorer, Je ferai le métier des idoles antiques, Et comme elles je veux me faire redorer ; Et je me soûlerai de nard, d'encens, de myrrhe, De génuflexions, de viandes et de vins, Pour savoir si je puis dans un coeur qui m'admire Usurper en riant les hommages divins ! Et, quand je m'ennuierai de ces farces impies, Je poserai sur lui ma frêle et forte main ; Et mes ongles, pareils aux ongles des harpies, Sauront jusqu'à son coeur se frayer un chemin. Comme un tout jeune oiseau qui tremble et qui palpite, J'arracherai ce coeur tout rouge de son sein, Et, pour rassasier ma bête favorite, Je le lui jetterai par terre avec dédain ! " Vers le Ciel, où son oeil voit un trône splendide, Le Poète serein lève ses bras pieux, Et les vastes éclairs de son esprit lucide Lui dérobent l'aspect des peuples furieux : - " Soyez béni, mon Dieu, qui donnez la souffrance Comme un divin remède à nos impuretés Et comme la meilleure et la plus pure essence Qui prépare les forts aux saintes voluptés ! Je sais que vous gardez une place au Poète Dans les rangs bienheureux des saintes Légions, Et que vous l'invitez à l'éternelle fête, Des Trônes, des Vertus, des Dominations. Je sais que la douleur est la noblesse unique Où ne mordront jamais la terre et les enfers, Et qu'il faut pour tresser ma couronne mystique Imposer tous les temps et tous les univers. Mais les bijoux perdus de l'antique Palmyre, Les métaux inconnus, les perles de la mer, Par votre main montés, ne pourraient pas suffire A ce beau diadème éblouissant et clair ; Car il ne sera fait que de pure lumière, Puisée au foyer saint des rayons primitifs, Et dont les yeux mortels, dans leur splendeur entière, Ne sont que des miroirs obscurcis et plaintifs ! " [b]► BAUDELAIRE[/b] </div></div><div style="border-bottom: dashed 1px #666666; width:480px; margin-bottom:1px;margin-top:8px;"></div> <div style="font-family:arial; font-size:10px; color:black">(c) AMIANTE</div></div><br></center>
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<link href='http://fonts.googleapis.com/css?family=Megrim' rel='stylesheet' type='text/css'><center><div style="width:500px; min-height:300px; background-color:#000000; border-radius:30px; box-shadow:0px 2px 10px #666666"> <div style="font-family:'Megrim'; font-size:42px; color:#dddddd; text-transform:uppercase; padding-bottom:10px;">ton titre ici</div><div style="border-bottom: dashed 1px #aaaaaa; width:480px; margin-bottom:8px;"></div><div style="width:480px; min-height:300px; background-color:#222222; border-radius:10px;"><div style="font-family:MS Mincho; font-size:17px; line-height:14px; text-transform:uppercase; padding-top:5px; padding:10px; color:#dddddd; text-align:justify;"><img src="http://25.media.tumblr.com/tumblr_mbec49ffdD1qhs2y1o1_500.jpg" style="border-radius:10px; width:460px;"/> <br>[i](verlaine)[/i] ▽ Il pleure dans mon cœur Comme il pleut sur la ville, Quelle est cette langueur Qui pénètre mon cœur ? </div><div style="float: left; padding-left: 10px; padding-right: 5px; padding-bottom: 3px; padding-top: 8px; "><img src="http://25.media.tumblr.com/tumblr_mch3isZFB51qdbg6jo1_500.gif" style="width:215px; border:1px solid #dddddd; padding:3px"></div><div style="font-family:arial; font-size:12px; line-height:11px; text-align:justify; padding:10px; color:#dddddd">Lorsque, par un décret des puissances suprêmes, Le Poète apparaît en ce monde ennuyé, Sa mère épouvantée et pleine de blasphèmes Crispe ses poings vers Dieu, qui la prend en pitié : - " Ah ! que n'ai-je mis bas tout un noeud de vipères, Plutôt que de nourrir cette dérision ! Maudite soit la nuit aux plaisirs éphémères Où mon ventre a conçu mon expiation ! Puisque tu m'as choisie entre toutes les femmes Pour être le dégoût de mon triste mari, Et que je ne puis pas rejeter dans les flammes, Comme un billet d'amour, ce monstre rabougri, Je ferai rejaillir ta haine qui m'accable Sur l'instrument maudit de tes méchancetés, Et je tordrai si bien cet arbre misérable,Qu'il ne pourra pousser ses boutons empestés ! " Elle ravale ainsi l'écume de sa haine, Et, ne comprenant pas les desseins éternels, Elle-même prépare au fond de la Géhenne Les bûchers consacrés aux crimes maternels. Pourtant, sous la tutelle invisible d'un Ange, L'Enfant déshérité s'enivre de soleil, Et dans tout ce qu'il boit et dans tout ce qu'il mange Retrouve l'ambroisie et le nectar vermeil. Il joue avec le vent, cause avec le nuage, Et s'enivre en chantant du chemin de la croix ; Et l'Esprit qui le suit dans son pèlerinage Pleure de le voir gai comme un oiseau des bois. Tous ceux qu'il veut aimer l'observent avec crainte, Ou bien, s'enhardissant de sa tranquillité, Cherchent à qui saura lui tirer une plainte, Et font sur lui l'essai de leur férocité. Dans le pain et le vin destinés à sa bouche Ils mêlent de la cendre avec d'impurs crachats ; Avec hypocrisie ils jettent ce qu'il touche, Et s'accusent d'avoir mis leurs pieds dans ses pas. Sa femme va criant sur les places publiques : " Puisqu'il me trouve assez belle pour m'adorer, Je ferai le métier des idoles antiques, Et comme elles je veux me faire redorer ; Et je me soûlerai de nard, d'encens, de myrrhe, De génuflexions, de viandes et de vins, Pour savoir si je puis dans un coeur qui m'admire Usurper en riant les hommages divins ! Et, quand je m'ennuierai de ces farces impies, Je poserai sur lui ma frêle et forte main ; Et mes ongles, pareils aux ongles des harpies, Sauront jusqu'à son coeur se frayer un chemin. Comme un tout jeune oiseau qui tremble et qui palpite, J'arracherai ce coeur tout rouge de son sein, Et, pour rassasier ma bête favorite, Je le lui jetterai par terre avec dédain ! " Vers le Ciel, où son oeil voit un trône splendide, Le Poète serein lève ses bras pieux, Et les vastes éclairs de son esprit lucide Lui dérobent l'aspect des peuples furieux : - " Soyez béni, mon Dieu, qui donnez la souffrance Comme un divin remède à nos impuretés Et comme la meilleure et la plus pure essence Qui prépare les forts aux saintes voluptés ! Je sais que vous gardez une place au Poète Dans les rangs bienheureux des saintes Légions, Et que vous l'invitez à l'éternelle fête, Des Trônes, des Vertus, des Dominations. Je sais que la douleur est la noblesse unique Où ne mordront jamais la terre et les enfers, Et qu'il faut pour tresser ma couronne mystique Imposer tous les temps et tous les univers. Mais les bijoux perdus de l'antique Palmyre, Les métaux inconnus, les perles de la mer, Par votre main montés, ne pourraient pas suffire A ce beau diadème éblouissant et clair ; Car il ne sera fait que de pure lumière, Puisée au foyer saint des rayons primitifs, Et dont les yeux mortels, dans leur splendeur entière, Ne sont que des miroirs obscurcis et plaintifs ! " [b]► BAUDELAIRE[/b] </div></div><div style="border-bottom: dashed 1px #dddddd; width:480px; margin-bottom:1px;margin-top:8px;"></div> <div style="font-family:arial; font-size:10px; color:white">(c) AMIANTE</div></div><br></center>
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Sujet: Re: ▬ Posts/Réponses rp Ven 25 Juil - 16:52
un titre à mettre ici.
(prévert) ▽ Tout simplement des nuages Qui crèvent comme des chiens Des chiens qui disparaissent Au fil de l'eau sur Brest Et vont pourrir au loin Au loin très loin de Brest Dont il ne reste rien.
« Jadis, si je me souviens bien, ma vie était un festin où s'ouvraient tous les coeurs, où tous les vins coulaient. Un soir, j'ai assis la Beauté sur mes genoux. – Et je l'ai trouvée amère. – Et je l'ai injuriée. Je me suis armé contre la justice. Je me suis enfui. Ô sorcières, ô misère, ô haine, c'est à vous que mon trésor a été confié ! Je parvins à faire s'évanouir dans mon esprit toute l'espérance humaine. Sur toute joie pour l'étrangler j'ai fait le bond sourd de la bête féroce. J'ai appelé les bourreaux pour, en périssant, mordre la crosse de leurs fusils. J'ai appelé les fléaux, pour m'étouffer avec le sable, avec le sang. Le malheur a été mon dieu. Je me suis allongé dans la boue. Je me suis séché à l'air du crime. Et j'ai joué de bons tours à la folie. Et le printemps m'a apporté l'affreux rire de l'idiot. Or, tout dernièrement, m'étant trouvé sur le point de faire le dernier couac ! j'ai songé à rechercher le clef du festin ancien, où je reprendrais peut–être appétit. La charité est cette clef. – Cette inspiration prouve que j'ai rêvé ! "Tu resteras hyène, etc.... ," se récrie le démon qui me couronna de si aimables pavots. "Gagne la mort avec tous tes appétits, et ton égoïsme et tous les péchés capitaux." Ah ! j'en ai trop pris: – Mais, cher Satan, je vous en conjure, une prunelle moins irritée ! et en attendant les quelques petites lâchetés en retard, vous qui aimez dans l'écrivain l'absence des facultés descriptives ou instructives, je vous détache des quelques hideux feuillets de mon carnet de damné. ▲ RIMBAUD
(c) AMIANTE
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<center><link href='http://fonts.googleapis.com/css?family=Megrim' rel='stylesheet' type='text/css'><div style="position: relative; left:-20px; top: 0px; border-radius: 200px; width: 250px; height: 250px; background:url(http://25.media.tumblr.com/e8b1370f9afbd834ba0b47249f380d7b/tumblr_miuw7oKYrI1reqg8zo1_500.gif); -webkit-filter:grayscale(100%); background-position:center; box-shadow: 0px 0px 5px #AAA;"><div style="position: relative; left:155px; top: 93px; background:url(http://25.media.tumblr.com/9c106f64543e12522ad3df39f6ae5ad0/tumblr_mho4xijUDU1s1sbqho2_250.gif); -webkit-filter:grayscale(100%); background-position:center; border-radius:200px;width: 150px; height: 150px; box-shadow: 0px 0px 5px #AAA;"></div> <div style="position: relative; left:-140px; top: 0px; background:url(http://www.hapshack.com/images/pAPQ4.png); -webkit-filter:grayscale(100%); border-radius:200px; width: 100px; height: 100px; box-shadow: 0px 0px 5px #AAA;"></div></div><div style="margin-top:-40px;width:450px; min-height:300px; background-image:url(http://farm4.static.flickr.com/3634/3346431062_0f7db7be6b_o.jpg);; border-radius:50px; box-shadow:0px 0px 10px black;"><div style="position:relative; padding-top:50px; font-family:Megrim; font-size:35px; text-transform:uppercase; letter-spacing:-2px; line-height:25px; text-align:center; color:#000">un titre à mettre ici.</div><img src="http://24.media.tumblr.com/tumblr_mbxu6nxoWx1rijlueo1_400.jpg" style=" margin-top:10px; width:400px; border-radius:10px;"/><div style="font-family:MS Mincho; font-size:17px; line-height:14px; text-transform:uppercase; padding-left:20px; padding-right:20px; padding-top:10px; color:#222222; text-align:justify;">[i](prévert)[/i] ▽ Tout simplement des nuages Qui crèvent comme des chiens Des chiens qui disparaissent Au fil de l'eau sur Brest Et vont pourrir au loin Au loin très loin de Brest Dont il ne reste rien. </div><div style="font-family:arial; font-size:12px; line-height:12px; text-align:justify; padding:10px 20px; color:#333333">« Jadis, si je me souviens bien, ma vie était un festin où s'ouvraient tous les coeurs, où tous les vins coulaient. Un soir, j'ai assis la Beauté sur mes genoux. – Et je l'ai trouvée amère. – Et je l'ai injuriée. Je me suis armé contre la justice. Je me suis enfui. Ô sorcières, ô misère, ô haine, c'est à vous que mon trésor a été confié ! Je parvins à faire s'évanouir dans mon esprit toute l'espérance humaine. Sur toute joie pour l'étrangler j'ai fait le bond sourd de la bête féroce. J'ai appelé les bourreaux pour, en périssant, mordre la crosse de leurs fusils. J'ai appelé les fléaux, pour m'étouffer avec le sable, avec le sang. Le malheur a été mon dieu. Je me suis allongé dans la boue. Je me suis séché à l'air du crime. Et j'ai joué de bons tours à la folie. Et le printemps m'a apporté l'affreux rire de l'idiot. Or, tout dernièrement, m'étant trouvé sur le point de faire le dernier couac ! j'ai songé à rechercher le clef du festin ancien, où je reprendrais peut–être appétit. La charité est cette clef. – Cette inspiration prouve que j'ai rêvé ! "Tu resteras hyène, etc.... ," se récrie le démon qui me couronna de si aimables pavots. "Gagne la mort avec tous tes appétits, et ton égoïsme et tous les péchés capitaux." Ah ! j'en ai trop pris: – Mais, cher Satan, je vous en conjure, une prunelle moins irritée ! et en attendant les quelques petites lâchetés en retard, vous qui aimez dans l'écrivain l'absence des facultés descriptives ou instructives, je vous détache des quelques hideux feuillets de mon carnet de damné. <b>▲ RIMBAUD</b></div><div style="font-family:rockwell; text-align:center; font-size:10px; color:#999999;">(c) AMIANTE</div> </div></center><br>
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<center><link href='http://fonts.googleapis.com/css?family=Megrim' rel='stylesheet' type='text/css'><div style="position: relative; left:-20px; top: 0px; border-radius: 200px; width: 250px; height: 250px; background:url(http://25.media.tumblr.com/e8b1370f9afbd834ba0b47249f380d7b/tumblr_miuw7oKYrI1reqg8zo1_500.gif); -webkit-filter:grayscale(100%); background-position:center; box-shadow: 0px 0px 5px #AAA;"><div style="position: relative; left:155px; top: 93px; background:url(http://25.media.tumblr.com/9c106f64543e12522ad3df39f6ae5ad0/tumblr_mho4xijUDU1s1sbqho2_250.gif); -webkit-filter:grayscale(100%); background-position:center; border-radius:200px;width: 150px; height: 150px; box-shadow: 0px 0px 5px #AAA;"></div> <div style="position: relative; left:-140px; top: 0px; background:url(http://www.hapshack.com/images/pAPQ4.png); -webkit-filter:grayscale(100%); border-radius:200px; width: 100px; height: 100px; box-shadow: 0px 0px 5px #AAA;"></div></div><div style="margin-top:-40px;width:450px; min-height:300px; background-color:black; border-radius:50px; box-shadow:0px 0px 10px black;"><div style="position:relative; padding-top:50px; font-family:Megrim; font-size:35px; text-transform:uppercase; letter-spacing:-2px; line-height:25px; text-align:center; color:#cccccc">un titre à mettre ici.</div><img src="http://24.media.tumblr.com/tumblr_mbxu6nxoWx1rijlueo1_400.jpg" style=" margin-top:10px; width:400px; border-radius:10px;"/><div style="font-family:MS Mincho; font-size:17px; line-height:14px; text-transform:uppercase; padding-left:20px; padding-right:20px; padding-top:10px; color:#cccccc; text-align:justify;">[i](prévert)[/i] ▽ Tout simplement des nuages Qui crèvent comme des chiens Des chiens qui disparaissent Au fil de l'eau sur Brest Et vont pourrir au loin Au loin très loin de Brest Dont il ne reste rien. </div><div style="font-family:arial; font-size:12px; line-height:12px; text-align:justify; padding:10px 20px; color:#999999">« Jadis, si je me souviens bien, ma vie était un festin où s'ouvraient tous les coeurs, où tous les vins coulaient. Un soir, j'ai assis la Beauté sur mes genoux. – Et je l'ai trouvée amère. – Et je l'ai injuriée. Je me suis armé contre la justice. Je me suis enfui. Ô sorcières, ô misère, ô haine, c'est à vous que mon trésor a été confié ! Je parvins à faire s'évanouir dans mon esprit toute l'espérance humaine. Sur toute joie pour l'étrangler j'ai fait le bond sourd de la bête féroce. J'ai appelé les bourreaux pour, en périssant, mordre la crosse de leurs fusils. J'ai appelé les fléaux, pour m'étouffer avec le sable, avec le sang. Le malheur a été mon dieu. Je me suis allongé dans la boue. Je me suis séché à l'air du crime. Et j'ai joué de bons tours à la folie. Et le printemps m'a apporté l'affreux rire de l'idiot. Or, tout dernièrement, m'étant trouvé sur le point de faire le dernier couac ! j'ai songé à rechercher le clef du festin ancien, où je reprendrais peut–être appétit. La charité est cette clef. – Cette inspiration prouve que j'ai rêvé ! "Tu resteras hyène, etc.... ," se récrie le démon qui me couronna de si aimables pavots. "Gagne la mort avec tous tes appétits, et ton égoïsme et tous les péchés capitaux." Ah ! j'en ai trop pris: – Mais, cher Satan, je vous en conjure, une prunelle moins irritée ! et en attendant les quelques petites lâchetés en retard, vous qui aimez dans l'écrivain l'absence des facultés descriptives ou instructives, je vous détache des quelques hideux feuillets de mon carnet de damné. <b>▲ RIMBAUD</b></div><div style="font-family:rockwell; text-align:center; font-size:10px; color:#666666;">(c) AMIANTE</div> </div></center>
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Sujet: Re: ▬ Posts/Réponses rp Sam 26 Juil - 16:37
A beautiful day.
♫Une petite phrase sympa?♫
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Sujet: Re: ▬ Posts/Réponses rp Sam 26 Juil - 18:36
If we burn, you burn with us
I’ve tried to make this life my own, to find myself, I’ve searched alone. To let love go and let it in, I found it burning like a sin. I’ve worked it out, but learned it hard, it’s sad inside and life is out. Till I won’t settle down and watch either way.
Pseudo & Pseudo
He never told her his name. Neither did the waif, the little girl with the big eyes and hollow face who reminded her of another little girl, named Weasel. Like Arya, the waif lived below the temple, along with three acolytes, two serving men, and a cook called Umma. Umma liked to talk as she worked, but Arya could not understand a word she said. The others had no names, or did not choose to share them. One serving man was very old, his back bent like a bow. The second was red-faced, with hair growing from his ears. She took them both for mutes until she heard them praying. The acolytes were younger. The eldest was her father’s age; the other two could not have been much older than Sansa, who had been her sister. The acolytes wore black and white too, but their robes had no cowls, and were black on the left side and white on the right. With the kindly man and the waif, it was the opposite. Arya was given servant’s garb: a tunic of undyed wool, baggy breeches, linen smallclothes, cloth slippers for her feet. Only the kindly man knew the Common Tongue. “Who are you?” he would ask her every day. “No one,” she would answer, she who had been Arya of House Stark, Arya Underfoot, Arya Horseface. She had been Arry and Weasel too, and Squab and Salty, Nan the cupbearer, a grey mouse, a sheep, the ghost of Harrenhal... but not for true, not in her heart of hearts. In there she was Arya of Winterfell, the daughter of Lord Eddard Stark and Lady Catelyn, who had once had brothers named Robb and Bran and Rickon, a sister named Sansa, a direwolf called Nymeria, a half brother named Jon Snow. In there she was someone... but that was not the answer that he wanted. Without a common language, Arya had no way of talking to the others. She listened to them, though, and repeated the words she heard to herself as she went about her work. Though the youngest acolyte was blind, he had charge of the candles. He would walk the temple in soft slippers, surrounded by the murmurings of the old women who came each day to pray. Even without eyes, he always knew which candles had gone out. “He has the scent to guide him,” the kindly man explained, “and the air is warmer where a candle burns.” He told Arya to close her eyes and try it for herself. They prayed at dawn before they broke their fast, kneeling around the still, black pool. Some days the kindly man led the prayer. Other days it was the waif. Arya only knew a few words of Braavosi, the ones that were the same in High Valyrian. So she prayed her own prayer to the Many-Faced God, the one that went, “Ser Gregor, Dunsen, Raff the Sweetling, Ser Ilyn, Ser Meryn, Queen Cersei.” She prayed in silence. If the Many-Faced God was a proper god, he would hear her.
<center><img src="http://31.media.tumblr.com/af69b10587a1229103c213d5e4086fb8/tumblr_mthkgc6REx1rdk1oto1_500.gif" width="450px" style="border:1px solid black; padding:2px;border-radius:20px 0px 20px 0px;"> <div style="font-family: 'playball', cursive;font-size:39px; color:white;letter-spacing:-1px; width:453px;text-shadow: 1px 1px 1px black;margin-top:-35px;">If we burn, you burn with us</div> <link href='http://fonts.googleapis.com/css?family=Playball' rel='stylesheet' type='text/css'><div style="font-family: times new roman;font-size:12px; letter-spacing:0px;text-align:justify;color:black;width:453px;line-height:12px;margin-top:2px;">[i]I’ve tried to make this life my own, to find myself, I’ve searched alone. To let love go and let it in, I found it burning like a sin. I’ve worked it out, but learned it hard, it’s sad inside and life is out. Till I won’t settle down and watch either way.[/i]<link href='http://fonts.googleapis.com/css?family=Parisienne' rel='stylesheet' type='text/css'><div style="width:453px;font-family: 'Parisienne', cursive;text-align:right;font-size:30px;color:#4A1A2C;">Pseudo & Pseudo</div> </div><div style="width:453px;text-align:justify;font-size:13px;line-height:14px;margin-top:2px;">He never told her his name. Neither did the waif, the little girl with the big eyes and hollow face who reminded her of another little girl, named Weasel. Like Arya, the waif lived below the temple, along with three acolytes, two serving men, and a cook called Umma. Umma liked to talk as she worked, but Arya could not understand a word she said. The others had no names, or did not choose to share them. One serving man was very old, his back bent like a bow. The second was red-faced, with hair growing from his ears. She took them both for mutes until she heard them praying. The acolytes were younger. The eldest was her father’s age; the other two could not have been much older than Sansa, who had been her sister. The acolytes wore black and white too, but their robes had no cowls, and were black on the left side and white on the right. With the kindly man and the waif, it was the opposite. Arya was given servant’s garb: a tunic of undyed wool, baggy breeches, linen smallclothes, cloth slippers for her feet. Only the kindly man knew the Common Tongue. “Who are you?” he would ask her every day. “No one,” she would answer, she who had been Arya of House Stark, Arya Underfoot, Arya Horseface. She had been Arry and Weasel too, and Squab and Salty, Nan the cupbearer, a grey mouse, a sheep, the ghost of Harrenhal... but not for true, not in her heart of hearts. In there she was Arya of Winterfell, the daughter of Lord Eddard Stark and Lady Catelyn, who had once had brothers named Robb and Bran and Rickon, a sister named Sansa, a direwolf called Nymeria, a half brother named Jon Snow. In there she was someone... but that was not the answer that he wanted. Without a common language, Arya had no way of talking to the others. She listened to them, though, and repeated the words she heard to herself as she went about her work. Though the youngest acolyte was blind, he had charge of the candles. He would walk the temple in soft slippers, surrounded by the murmurings of the old women who came each day to pray. Even without eyes, he always knew which candles had gone out. “He has the scent to guide him,” the kindly man explained, “and the air is warmer where a candle burns.” He told Arya to close her eyes and try it for herself. They prayed at dawn before they broke their fast, kneeling around the still, black pool. Some days the kindly man led the prayer. Other days it was the waif. Arya only knew a few words of Braavosi, the ones that were the same in High Valyrian. So she prayed her own prayer to the Many-Faced God, the one that went, “Ser Gregor, Dunsen, Raff the Sweetling, Ser Ilyn, Ser Meryn, Queen Cersei.” She prayed in silence. If the Many-Faced God was a proper god, he would hear her.
Sujet: Re: ▬ Posts/Réponses rp Sam 26 Juil - 18:36
Titre du sujet
Prénom 1 & Prénom 2
Autre chose à dire ?
Rappelez-vous l'objet que nous vîmes, mon âme, Ce beau matin d'été si doux : Au détour d'un sentier une charogne infâme Sur un lit semé de cailloux, Les jambes en l'air, comme une femme lubrique, Brûlante et suant les poisons, Ouvrait d'une façon nonchalante et cynique Son ventre plein d'exhalaisons. Le soleil rayonnait sur cette pourriture, Comme afin de la cuire à point, Et de rendre au centuple à la grande Nature Tout ce qu'ensemble elle avait joint ; Et le ciel regardait la carcasse superbe Comme une fleur s'épanouir. La puanteur était si forte, que sur l'herbe Vous crûtes vous évanouir. Les mouches bourdonnaient sur ce ventre putride, D'où sortaient de noirs bataillons De larves, qui coulaient comme un épais liquide Le long de ces vivants haillons. Tout cela descendait, montait comme une vague Ou s'élançait en pétillant On eût dit que le corps, enflé d'un souffle vague, Vivait en se multipliant. Et ce monde rendait une étrange musique, Comme l'eau courante et le vent, Ou le grain qu'un vanneur d'un mouvement rythmique Agite et tourne dans son van. Les formes s'effaçaient et n'étaient plus qu'un rêve, Une ébauche lente à venir Sur la toile oubliée, et que l'artiste achève Seulement par le souvenir. Derrière les rochers une chienne inquiète Nous regardait d'un oeil fâché, Epiant le moment de reprendre au squelette Le morceau qu'elle avait lâché. Et pourtant vous serez semblable à cette ordure, À cette horrible infection, Étoile de mes yeux, soleil de ma nature, Vous, mon ange et ma passion ! Oui ! telle vous serez, ô la reine des grâces, Après les derniers sacrements, Quand vous irez, sous l'herbe et les floraisons grasses, Moisir parmi les ossements. Alors, ô ma beauté! dites à la vermine Qui vous mangera de baisers, Que j'ai gardé la forme et l'essence divine De mes amours décomposés ! ► BAUDELAIRE
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Code:
<link href='http://fonts.googleapis.com/css?family=Love+Ya+Like+A+Sister|Cedarville+Cursive' rel='stylesheet' type='text/css'><center><div style="width:500px; min-height:300px; background-image:url(http://farm4.static.flickr.com/3634/3346431062_0f7db7be6b_o.jpg); border-left: 10px solid #000;border-radius:20px; -moz-border-radius:20px; border-right: 10px solid #000; -moz-border-radius:25px;-moz-border-radius:10px"><div style="font-family: 'Love Ya Like A Sister'; font-size:45px; color:#000000;padding-top:15px;text-transform:uppercase">Titre du sujet</div><div style="font-family: 'Cedarville Cursive'; font-size:40px; color:#000; opacity:0.5; text-align:center; padding-top:-5px; text-transform:lowercase;">Prénom 1 & Prénom 2</div> <div style="width:470px;height:267px; border-radius:20px; -moz-border-radius:20px; border-top: 8px solid #000; border-bottom: 8px solid #000; background-image:url(http://27.media.tumblr.com/tumblr_lxk0l2PgOD1r8o2q8o1_500.gif)"></div><div style="font-family:'MS Mincho'; font-size:20px; line-height:26px; color:grey; text-transform:uppercase; border-bottom: 1px dashed;">Autre chose à dire ?</div> <param name="allowscriptaccess" value="always"></param><embed src="http://www.youtube.com/v/ync1u2Qw5c8" type="application/x-shockwave-flash" allowscriptaccess="always" allowfullscreen="true" width="470" height="25"></embed></object><br> <div style="width:470px;font-family:georgia;text-align:justify;color:black;font-size:12px; line-height:13px;">Rappelez-vous l'objet que nous vîmes, mon âme, Ce beau matin d'été si doux : Au détour d'un sentier une charogne infâme Sur un lit semé de cailloux, Les jambes en l'air, comme une femme lubrique, Brûlante et suant les poisons, Ouvrait d'une façon nonchalante et cynique Son ventre plein d'exhalaisons. Le soleil rayonnait sur cette pourriture, Comme afin de la cuire à point, Et de rendre au centuple à la grande Nature Tout ce qu'ensemble elle avait joint ; Et le ciel regardait la carcasse superbe Comme une fleur s'épanouir. La puanteur était si forte, que sur l'herbe Vous crûtes vous évanouir. Les mouches bourdonnaient sur ce ventre putride, D'où sortaient de noirs bataillons De larves, qui coulaient comme un épais liquide Le long de ces vivants haillons. Tout cela descendait, montait comme une vague Ou s'élançait en pétillant On eût dit que le corps, enflé d'un souffle vague, Vivait en se multipliant. Et ce monde rendait une étrange musique, Comme l'eau courante et le vent, Ou le grain qu'un vanneur d'un mouvement rythmique Agite et tourne dans son van. Les formes s'effaçaient et n'étaient plus qu'un rêve, Une ébauche lente à venir Sur la toile oubliée, et que l'artiste achève Seulement par le souvenir. Derrière les rochers une chienne inquiète Nous regardait d'un oeil fâché, Epiant le moment de reprendre au squelette Le morceau qu'elle avait lâché. Et pourtant vous serez semblable à cette ordure, À cette horrible infection, Étoile de mes yeux, soleil de ma nature, Vous, mon ange et ma passion ! Oui ! telle vous serez, ô la reine des grâces, Après les derniers sacrements, Quand vous irez, sous l'herbe et les floraisons grasses, Moisir parmi les ossements. Alors, ô ma beauté! dites à la vermine Qui vous mangera de baisers, Que j'ai gardé la forme et l'essence divine De mes amours décomposés ! [b]► BAUDELAIRE[/b] </div><div style="font-family: georgia; font-size:7px; text-transform:uppercase; text-align:right; color:#000000;padding:10px;">Code by [b]AMIANTE[/b]</div></div></div></div></center>
Say hi to 【 Thorncrown 】
♠ Sadistic flames
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Sujet: Re: ▬ Posts/Réponses rp Sam 26 Juil - 18:37
titre du rp ou citation
AVEC PSEUDO DU JOUEUR
Aenean viverra at mauris non venenatis. Fusce lorem tellus, venenatis sit amet mattis a, pellentesque eu eros. Vivamus bibendum pulvinar nisl in malesuada. Vivamus ligula risus, blandit a neque ac, eleifend semper urna. Nullam sollicitudin mattis ipsum. Class aptent taciti sociosqu ad litora torquent per conubia nostra, per inceptos himenaeos. Mauris egestas elit in urna blandit, eu tristique metus malesuada. Mauris sit amet posuere libero.
Duis elit sapien, auctor condimentum posuere lacinia, volutpat eget dui. Morbi in dignissim ipsum. In porttitor eros non velit elementum, vitae rutrum quam scelerisque. Ut nec urna euismod, mollis ante ac, fermentum ante. Pellentesque fermentum purus sit amet ligula porttitor, nec auctor massa tincidunt. Proin et rhoncus nisl, in congue nibh. Nam tincidunt lorem in dolor ultricies, sed euismod felis tempus. Maecenas molestie nec nunc id gravida. Integer ac diam et diam pellentesque sagittis. Donec congue ipsum ac ligula interdum facilisis. Etiam ut dolor quis sem tincidunt condimentum. Sed gravida cursus libero. Nullam aliquet a lorem in fringilla.
Sed justo justo, tincidunt non ultricies sed, faucibus eu tortor. Fusce iaculis consectetur velit, a fermentum purus pellentesque non. Nunc pellentesque quis lectus ut dignissim. Cras a dignissim neque. Fusce accumsan tempor orci id volutpat. Duis ultricies leo sed libero scelerisque consequat. Mauris ac commodo velit. Maecenas sed enim sed nunc convallis dictum vitae ut diam. Phasellus augue urna, molestie pulvinar dui vel, eleifend adipiscing ante. Praesent eu est ac ante rutrum vulputate.
Vestibulum nec rhoncus libero. Praesent sagittis gravida neque vel facilisis. Donec tincidunt pretium sapien, a cursus tortor varius et. Cras vel placerat neque. In venenatis dolor a mauris ultrices, in euismod dolor sollicitudin. Vivamus vel tellus mi. Aliquam a dolor tellus. Suspendisse semper ultricies lacus, in malesuada justo scelerisque at. Donec malesuada neque mauris, quis congue tellus ultrices a. Mauris ligula ante, lacinia ut sollicitudin at, ullamcorper.
<center><link href='http://fonts.googleapis.com/css?family=Devonshire' rel='stylesheet' type='text/css'><div style="border-top: 3px solid mediumpurple; border-bottom: 3px solid mediumpurple; background-color: #F1F1F1; width: 500px; height: 100%;"> <img src="http://25.media.tumblr.com/940f60067b1b80c3ce21d25bff25c51d/tumblr_msgmsbdIyN1sqzpm7o1_500.gif" width="450px"><div style="font-family: Devonshire; font-size: 35px; color: mediumpurple; opacity: 0.9; font-style: italic; text-shadow: 1px 1px 1px #3D3D3D;">titre du rp ou citation</div><div style="font-family: times new roman; font-size: 10px;">AVEC PSEUDO DU JOUEUR</div> <div style="background-color: #ffffff; width: 430px; height: 100%; padding: 10px; text-align: justify; font-family: arial; font-size: 11px; line-height: 12px; border: 1px solid #e0e0e0;">Aenean viverra at mauris non venenatis. Fusce lorem tellus, venenatis sit amet mattis a, pellentesque eu eros. Vivamus bibendum pulvinar nisl in malesuada. Vivamus ligula risus, blandit a neque ac, eleifend semper urna. Nullam sollicitudin mattis ipsum. Class aptent taciti sociosqu ad litora torquent per conubia nostra, per inceptos himenaeos. Mauris egestas elit in urna blandit, eu tristique metus malesuada. Mauris sit amet posuere libero.
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Sujet: Re: ▬ Posts/Réponses rp Sam 26 Juil - 18:38
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<div style="width: 394px; height: 250px; padding: 10px; background-color: white; border: 1px solid #F1F1F1; overflow: auto; line-height: 11px; font-size: 11px; text-align: justify; margin-top: -5px;">Aenean viverra at mauris non venenatis. Fusce lorem tellus, venenatis sit amet mattis a, pellentesque eu eros. Vivamus bibendum pulvinar nisl in malesuada. Vivamus ligula risus, blandit a neque ac, eleifend semper urna. Nullam sollicitudin mattis ipsum. Class aptent taciti sociosqu ad litora torquent per conubia nostra, per inceptos himenaeos. Mauris egestas elit in urna blandit, eu tristique metus malesuada. Mauris sit amet posuere libero.
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Sujet: Re: ▬ Posts/Réponses rp Sam 26 Juil - 18:40
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Sujet: Re: ▬ Posts/Réponses rp Sam 26 Juil - 18:44
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Sujet: Re: ▬ Posts/Réponses rp Sam 26 Juil - 18:45
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- J'ai fait des choses que j'regrette suffisamment, suffisamment pour y penser tout l'temps. J'pourrai t'donner un million de bonnes raisons, pour qu'on m'attrape, qu'on m'casse les genoux, & qu'on m'cloue au pilori.
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[b][color=#E6A386]- J'ai fait des choses que j'regrette suffisamment, suffisamment pour y penser tout l'temps. J'pourrai t'donner un million de bonnes raisons, pour qu'on m'attrape, qu'on m'casse les genoux, & qu'on m'cloue au pilori.[/color][/b]
Lorem ipsum dolor sit amet, consectetur adipisicing elit, sed do eiusmod tempor incididunt ut labore et dolore magna aliqua. Ut enim ad minim veniam, quis nostrud exercitation ullamco laboris nisi ut aliquip ex ea commodo consequat. Duis aute irure dolor in reprehenderit in voluptate velit esse cillum dolore eu fugiat nulla pariatur. Excepteur sint occaecat cupidatat non proident, sunt in culpa qui officia deserunt mollit anim id est laborum.Lorem ipsum dolor sit amet, consectetur adipisicing elit, sed do eiusmod tempor incididunt ut labore et dolore magna aliqua. Duis aute irure dolor in reprehenderit in voluptate velit esse cillum dolore eu fugiat nulla pariatur. Excepteur sint occaecat cupidatat non proident, sunt in culpa qui officia deserunt mollit anim id est laborum.</div>
Sujet: Re: ▬ Posts/Réponses rp Dim 27 Juil - 17:07
So did I. But in fact, she is, because she's on every page of your imagination. You'll always have her there. Always ▬ J.M. Barrie
Un ciel clair, parfois virant au rose, teinté de moutons bleus, d’une boule rouge ou d’éléments brûlants à des millions de kilomètres de là. Comme à son habitude, le corbeau se laisse planer au-dessus des immeubles de cette ville si animée, trop animée. Chaque jour, il observe cette masse humaine se faire du mal, perdre son temps à s’agiter convaincue que c’est le seul objet de son existence. Il finit par se poser près de cet individu masqué, qui contemple lui aussi ce théâtre taille réelle depuis toujours. « Comment allez-vous Maestro ? ». Silence, la personne en question réfléchie. « Je vais bien, et vous sieur Corbeau ? ». La même réponse. Et voila comment allait se terminer la journée. Aujourd’hui, ils verraient des meurtres, des viols, des bagarres sans queue ni tête, des crimes passionnels. Les deux compères stoppent leur discussion à ce stade généralement, mais pas en ce jour. « Je les hais ». Sa majesté volatile avait parlé. Maestro répliqua, frustré, « Ces pourritures se rongent mutuellement sans raison valable. Les péchés leur sied à merveille. Ils ne se soucient guère de leur prochain, et ne pensent qu’à eux, vorace, créant des prises de becs à tout va. ». Il marque une pause pour sourire à son ami fidèle qu’il aime tant taquiner avec ses jeux de mots. « Mais voyez-vous … je ne peux me résoudre à les détester, ni à en avoir pitié, parce qu’au fond leurs histoires ne se terminent jamais, ils ne s’ennuient qu’à de rares occasions … je les trouve attachant et fascinant. ».
Cette courte tirade résume bien l’état d’esprit dans lequel nous étions. J’étais le corbeau, toi tu étais Maestro. J’étais la haine, tu étais l’espoir. Tous les jours nous nous retrouvions, nous discutions de tout et de rien, mais surtout : nous débâtions de l’utilité de la vie. Peu à peu, tu as eu de l’influence sur moi, j’ai commencé à remettre en cause mes sombres pensées, à coucher sur le papier des hypothèses de bonheur futur. J’en suis arrivé à quémander tous les jours ta présence pour percer dans la lumière. Oui, le changement s’opérait. Le corbeau perdait ses plumes noires comme la nuit, il perdait cette peau pesante … pour laisser place à un tout nouvel animal : une colombe. Symbole de liberté, et donc indirectement de joie, de projets.
▬ BLA BLA BLA BLA BLA BLA BLA BLA BLA BLA BLA BLA BLA BLA BLA BLA BLA BLA BLA BLA BLA BLA BLA BLA BLA BLA BLA BLA BLA BLA BLA BLA BLA BLA BLA BLA BLA BLA BLA BLA BLA BLA BLA BLA BLA
Du haut de cet immeuble, debout sur le rebord, je contemple toutes ces fourmis qui s’agitent pour si peu. Après tout, travailler, être heureux, crever riche … on s’en fout puisque justement, à la fin il n’y a qu’une issue : la mort. Le sourire aux lèvres je me rie de tous ces inutiles, mais quelque chose derrière eux me turlupines … ton regard guilleret, ta peau d’albâtre, ce jolie minois que j’ai si souvent vu illuminé. Un pas, un seul, un geste, et je me retourne près de toi. Vais-je franchir le cap qui nous sépare ? Mon talon se décolle du sol, je ferme mes yeux, et j’avance. La chute n’est pas si rude en fin de compte, aucune sensation, pas la moindre douleur, ou le moindre plaisir, est-ce normal ? Mes paupières s’ouvrent à nouveau, persuadées d’être en face de toi, mais non. Je flotte en l’air, et je ne peux que t’observer, comme si une plaque invisible me séparait de cette fabuleuse rencontre. Est-ce donc ça ma punition pour t’avoir laissé ? Resté crispé vers le passé ?
<div style="font-size: 16px; color: #3E3E3E; text-align: center; background-color: #DCDADB; width: 484px; margin-left: -25px; padding: 8px;">So did I. But in fact, she is, because she's on every page of your imagination. You'll always have her there. Always ▬ J.M. Barrie</div> Un ciel clair, parfois virant au rose, teinté de moutons bleus, d’une boule rouge ou d’éléments brûlants à des millions de kilomètres de là. Comme à son habitude, le corbeau se laisse planer au-dessus des immeubles de cette ville si animée, trop animée. Chaque jour, il observe cette masse humaine se faire du mal, perdre son temps à s’agiter convaincue que c’est le seul objet de son existence. Il finit par se poser près de cet individu masqué, qui contemple lui aussi ce théâtre taille réelle depuis toujours. « Comment allez-vous Maestro ? ». Silence, la personne en question réfléchie. « Je vais bien, et vous sieur Corbeau ? ». La même réponse. Et voila comment allait se terminer la journée. Aujourd’hui, ils verraient des meurtres, des viols, des bagarres sans queue ni tête, des crimes passionnels. Les deux compères stoppent leur discussion à ce stade généralement, mais pas en ce jour. « Je les hais ». Sa majesté volatile avait parlé. Maestro répliqua, frustré, « Ces pourritures se rongent mutuellement sans raison valable. Les péchés leur sied à merveille. Ils ne se soucient guère de leur prochain, et ne pensent qu’à eux, vorace, créant des prises de becs à tout va. ». Il marque une pause pour sourire à son ami fidèle qu’il aime tant taquiner avec ses jeux de mots. « Mais voyez-vous … je ne peux me résoudre à les détester, ni à en avoir pitié, parce qu’au fond leurs histoires ne se terminent jamais, ils ne s’ennuient qu’à de rares occasions … je les trouve attachant et fascinant. ».
Cette courte tirade résume bien l’état d’esprit dans lequel nous étions. J’étais le corbeau, toi tu étais Maestro. J’étais la haine, tu étais l’espoir. Tous les jours nous nous retrouvions, nous discutions de tout et de rien, mais surtout : nous débâtions de l’utilité de la vie. Peu à peu, tu as eu de l’influence sur moi, j’ai commencé à remettre en cause mes sombres pensées, à coucher sur le papier des hypothèses de bonheur futur. J’en suis arrivé à quémander tous les jours ta présence pour percer dans la lumière. Oui, le changement s’opérait. Le corbeau perdait ses plumes noires comme la nuit, il perdait cette peau pesante … pour laisser place à un tout nouvel animal : une colombe. Symbole de liberté, et donc indirectement de joie, de projets. <table width="100%" border="0" cellspacing="2"><tr><td width="10%"><img src="http://i83.servimg.com/u/f83/17/97/89/15/111.png" style="width:100px; height:100px; border-radius:50px; -webkit-border-radius:50px; -moz-border-radius:50px;"></td> <td width="90%"><font color= "#FB6363">▬ BLA BLA BLA BLA BLA BLA BLA BLA BLA BLA BLA BLA BLA BLA BLA BLA BLA BLA BLA BLA BLA BLA BLA BLA BLA BLA BLA BLA BLA BLA BLA BLA BLA BLA BLA BLA BLA BLA BLA BLA BLA BLA BLA BLA BLA </font></td> </tr> </table>
Du haut de cet immeuble, debout sur le rebord, je contemple toutes ces fourmis qui s’agitent pour si peu. Après tout, travailler, être heureux, crever riche … on s’en fout puisque justement, à la fin il n’y a qu’une issue : la mort. Le sourire aux lèvres je me rie de tous ces inutiles, mais quelque chose derrière eux me turlupines … ton regard guilleret, ta peau d’albâtre, ce jolie minois que j’ai si souvent vu illuminé. Un pas, un seul, un geste, et je me retourne près de toi. Vais-je franchir le cap qui nous sépare ? Mon talon se décolle du sol, je ferme mes yeux, et j’avance. La chute n’est pas si rude en fin de compte, aucune sensation, pas la moindre douleur, ou le moindre plaisir, est-ce normal ? Mes paupières s’ouvrent à nouveau, persuadées d’être en face de toi, mais non. Je flotte en l’air, et je ne peux que t’observer, comme si une plaque invisible me séparait de cette fabuleuse rencontre. Est-ce donc ça ma punition pour t’avoir laissé ? Resté crispé vers le passé ?
Nihil est enim virtute amabilius, nihil quod magis adliciat ad diligendum, quippe cum propter virtutem et probitatem etiam eos, quos numquam vidimus, quodam modo diligamus. Quis est qui C. Fabrici, M'. Curi non cum caritate aliqua benevola memoriam usurpet, quos numquam viderit? quis autem est, qui Tarquinium Superbum, qui Sp. Cassium, Sp. Maelium non oderit? Cum duobus ducibus de imperio in Italia est decertatum, Pyrrho et Hannibale; ab altero propter probitatem eius non nimis alienos animos habemus, alterum propter crudelitatem semper haec civitas oderit.
Constituendi autem sunt qui sint in amicitia fines et quasi termini diligendi. De quibus tres video sententias ferri, quarum nullam probo, unam, ut eodem modo erga amicum adfecti simus, quo erga nosmet ipsos, alteram, ut nostra in amicos benevolentia illorum erga nos benevolentiae pariter aequaliterque respondeat, tertiam, ut, quanti quisque se ipse facit, tanti fiat ab amicis.
« Cognito per cognito ac modum casu conducentia remoti idem casu.»
Verum ad istam omnem orationem brevis est defensio. Nam quoad aetas M. Caeli dare potuit isti suspicioni locum, fuit primum ipsius pudore, deinde etiam patris diligentia disciplinaque munita. Qui ut huic virilem togam deditšnihil dicam hoc loco de me; tantum sit, quantum vos existimatis; hoc dicam, hunc a patre continuo ad me esse deductum; nemo hunc M. Caelium in illo aetatis flore vidit nisi aut cum patre aut mecum aut in M. Crassi castissima domo, cum artibus honestissimis erudiretur.
Latius iam disseminata licentia onerosus bonis omnibus Caesar nullum post haec adhibens modum orientis latera cuncta vexabat nec honoratis parcens nec urbium primatibus nec plebeiis.
Abusus enim multitudine hominum, quam tranquillis in rebus diutius rexit, ex agrestibus habitaculis urbes construxit multis opibus firmas et viribus, quarum ad praesens pleraeque licet Graecis nominibus appellentur, quae isdem ad arbitrium inposita sunt conditoris, primigenia tamen nomina non amittunt, quae eis Assyria lingua institutores veteres indiderunt.
<div style="color:#FFF5E6; margin-top:300px;">Code <a href="http://forum-theme.forumperso.com/u4212"/>Hiyata</a</div></div></td><td><div class="haut-rp">Titre du RP</div><div class="fond_rp">Nihil est enim virtute amabilius, nihil quod magis adliciat ad diligendum, quippe cum propter virtutem et probitatem etiam eos, quos numquam vidimus, quodam modo diligamus. Quis est qui C. Fabrici, M'. Curi non cum caritate aliqua benevola memoriam usurpet, quos numquam viderit? quis autem est, qui Tarquinium Superbum, qui Sp. Cassium, Sp. Maelium non oderit? Cum duobus ducibus de imperio in Italia est decertatum, Pyrrho et Hannibale; ab altero propter probitatem eius non nimis alienos animos habemus, alterum propter crudelitatem semper haec civitas oderit.
Constituendi autem sunt qui sint in amicitia fines et quasi termini diligendi. De quibus tres video sententias ferri, quarum nullam probo, unam, ut eodem modo erga amicum adfecti simus, quo erga nosmet ipsos, alteram, ut nostra in amicos benevolentia illorum erga nos benevolentiae pariter aequaliterque respondeat, tertiam, ut, quanti quisque se ipse facit, tanti fiat ab amicis.
<div class ="parole_rp">« Cognito per cognito ac modum casu conducentia remoti idem casu.»</div> Verum ad istam omnem orationem brevis est defensio. Nam quoad aetas M. Caeli dare potuit isti suspicioni locum, fuit primum ipsius pudore, deinde etiam patris diligentia disciplinaque munita. Qui ut huic virilem togam deditšnihil dicam hoc loco de me; tantum sit, quantum vos existimatis; hoc dicam, hunc a patre continuo ad me esse deductum; nemo hunc M. Caelium in illo aetatis flore vidit nisi aut cum patre aut mecum aut in M. Crassi castissima domo, cum artibus honestissimis erudiretur.
Latius iam disseminata licentia onerosus bonis omnibus Caesar nullum post haec adhibens modum orientis latera cuncta vexabat nec honoratis parcens nec urbium primatibus nec plebeiis.
Abusus enim multitudine hominum, quam tranquillis in rebus diutius rexit, ex agrestibus habitaculis urbes construxit multis opibus firmas et viribus, quarum ad praesens pleraeque licet Graecis nominibus appellentur, quae isdem ad arbitrium inposita sunt conditoris, primigenia tamen nomina non amittunt, quae eis Assyria lingua institutores veteres indiderunt.</div></td></tr></table></center>
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Messages : 29 Date d'inscription : 23/07/2014
Sujet: Re: ▬ Posts/Réponses rp Mar 25 Nov - 21:15
Nine o'clock - Monsters still spleep.
ghosts always come out in the dead of night
feat Casper - Slender - Jack T. Monster
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<div style="font-family: 'Amatic SC'; font-size: 30px; width: 500px; text-align: center; margin-top: 10px;">ghosts always come out in the dead of night</div> <div style="width: 500px; text-align: center; font-size: 8px; text-transform: uppercase; margin-top: -16px; color: #999;">feat Casper - Slender - Jack T. Monster</div> <center><object type="application/x-shockwave-flash" data="http://www.archive-host.com/dewplayer-vol.swf?mp3=http://www.aht.li/2450450/Homura_Akemis_Theme.mp3&autoplay=1&autoreplay=1&showtime=1&volume=50" width="240" height="20"><param name="movie" value="http://www.archive-host.com/dewplayer-vol.swf?mp3=http://www.aht.li/2450450/Homura_Akemis_Theme.mp3&autoplay=1&autoreplay=1&showtime=1&volume=50" /></object></center> <div style="width: 450px; margin: auto; height: auto; box-shadow: 0px 0px 3px #333; padding: 10px;">Lorem ipsum dolor sit amet, consectetur adipiscing elit. Cras purus orci, luctus nec nulla nec, facilisis varius magna. Aliquam et tellus non diam commodo commodo ut sit amet ipsum. Duis arcu est, euismod vel venenatis eget, vulputate a nibh. Cras posuere tellus ex, eget varius velit maximus at. Duis nisl orci, facilisis quis magna ac, convallis scelerisque tortor. Morbi arcu neque, finibus sed faucibus nec, pharetra at ante. Nulla at iaculis justo. Sed hendrerit porta justo sit amet semper. Cras nec bibendum orci, imperdiet feugiat justo. Nulla facilisi. Etiam consequat mi ligula, nec vestibulum velit facilisis eget. Sed gravida ultrices ante ut venenatis. Nam auctor ut augue non facilisis. Sed ut est ut nisl feugiat blandit. Donec faucibus nisl at augue ullamcorper, a molestie est dapibus.
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" paroles de votre personnage "
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<div style=";text-align:center;font-size:12px;font-family: La Belle Aurore; text-shadow: 1px 1px 0px #ffffff;margin-top:3px;color: #C40051;">" paroles de votre personnage " </div>
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Say hi to 【 Thorncrown 】
♠ Sadistic flames
Messages : 35 Date d'inscription : 23/07/2014
Sujet: Re: ▬ Posts/Réponses rp Ven 13 Mar - 16:31
Le titre du rp ici ✩
personnage & personnage
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electric bird.
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<link href='http://fonts.googleapis.com/css?family=Oswald|Halant' rel='stylesheet' type='text/css'><center><img src="URL DU GIF CARRE OU DE L'ICON" width="100px" style="border-radius: 100%; border: 10px solid #fff; position: relative; z-index: 4; margin-top: 80px;"><div style="width: 420px; padding: 40px 15px 15px 15px; background: #fff; position: relative; top: -195px; z-index: 3; border-top: 120px solid #9ebbe3; font: 11px arial; text-align: justify; line-height: 110%; margin-bottom: -195px"><div style="font: 23px Halant; color: white; text-align: center; text-transform: lowercase; line-height: 100%; letter-spacing: -2px; position: relative; top: -130px;">Le titre du rp ici ✩</div><div style="font: 10px oswald; color: white; text-align: center; text-transform: uppercase; line-height: 100%; letter-spacing: 1px; position: relative; top: -130px;">personnage & personnage</div>Lorem ipsum dolor sit amet, consectetur adipiscing elit. Ut volutpat euismod congue. Nullam posuere mauris nec est egestas iaculis. In adipiscing consequat enim, a commodo lacus viverra nec. Pellentesque vel ligula neque. Praesent feugiat laoreet purus sit amet luctus. Fusce sed odio in turpis pharetra tristique. Mauris convallis enim ut risus facilisis, eget interdum ligula hendrerit. Fusce fringilla tincidunt hendrerit. Integer ut convallis nisi. Maecenas fringilla mi nec augue viverra, sed pellentesque nisl elementum. Donec tristique mi in dui tempor, et dignissim nisi iaculis. Lorem ipsum dolor sit amet, consectetur adipiscing elit. Ut volutpat euismod congue. Nullam posuere mauris nec est egestas iaculis. In adipiscing consequat enim, a commodo lacus viverra nec. Pellentesque vel ligula neque. Praesent feugiat laoreet purus sit amet luctus. Fusce sed odio in turpis pharetra tristique. Mauris convallis enim ut risus facilisis, eget interdum ligula hendrerit. Fusce fringilla tincidunt hendrerit. Integer ut convallis nisi. Maecenas fringilla mi nec augue viverra, sed pellentesque nisl elementum. Donec tristique mi in dui tempor, et dignissim nisi iaculis. Lorem ipsum dolor sit amet, consectetur adipiscing elit. Ut volutpat euismod congue. Nullam posuere mauris nec est egestas iaculis. In adipiscing consequat enim, a commodo lacus viverra nec. Pellentesque vel ligula neque. Praesent feugiat laoreet purus sit amet luctus. Fusce sed odio in turpis pharetra tristique. Mauris convallis enim ut risus facilisis, eget interdum ligula hendrerit. Fusce fringilla tincidunt hendrerit. Integer ut convallis nisi. Maecenas fringilla mi nec augue viverra, sed pellentesque nisl elementum. Donec tristique mi in dui tempor, et dignissim nisi iaculis.</div><div style="background-color: #9ebbe3; width: 450px; height:10px;"></div><div style="font:11px serif; letter-spacing:-1px; text-transform:lowercase; opacity:0.3;text-align:center;"><i>electric bird.</i></div></center>
▲▼ De drôles de retrouvailles.Je suis de ceux qui en veulent toujours plus. Je suis de ces avides qui s'attaquent à trop avares. Je suis de ceux qui grattent pour l'amour et qui ne récoltent que de la merde. Je suis de ceux qui sont incompris. Je suis de ceux qui ne comprennent pas. Je me prends l'injustice comme un bus en pleine gueule. Et pourquoi moi j'y ai pas droit, à ce que bien d'autres ont ? Qu'est-ce qui cloche chez moi ? Qu'est-ce qui cloche chez nous ? Les mots du brun, ils s'abattent, tels mille et un poignards en plein buste, déchirant les restes de mon cœur déjà bien foutu en lambeaux. Qu'est-ce qui cloche chez nous ? Et pourquoi moi j'y ai pas droit ?
Que mes tympans explosent. Que la surdité se pointe. Je préférerais crever que d'entendre ça.
Je sais pas si il essaye de me raisonner. Je sais pas si il cherche à me blesser. A me briser. Je sais pas ce qu'il veut. Mais ça me tue. Mais ça me rend fou. Il ne voit pas la gravité que je remarque. Merde aux conséquences. Et qu'est-ce que je suis censé faire ? Et qu'est-ce que je suis censé dire ? Quand je constate à quel point il en a rien à branler de ma gueule, à quel point il me rejette alors que ma vie tourne littéralement autour de son petit nombril. Je sais que c'est lamentable, je sais que c'est même pire que ça. Je suis pathétique et pourtant j'y peux rien. Ce mec je l'ai pire que dans la peau. Je l'ai dans les veines, je l'ai dans l'air que je respire, je l'ai partout. Il me transforme en créature, un truc à peine encore humain. Ou peut-être trop humain. Je me laisse atteindre, je me laisse fracasser. Je vais en crever. Comment je pourrais ne pas crever quand je vois à quel point il me balance. Il s'en bat les couilles de moi. Putain… Je sais pas si je dois chialer ou gueuler. Je sais pas si je dois péter les plombs ou juste me barrer. Il me fout à bout de nerfs avec si peu. Je suis à fleur de peau. Rien que l'idée que je puisse encore le perdre me rend malade. Alors que ouais, je me rends bien compte que lui, il serait bien content de se débarrasser de moi. C'est bien ce que j'étais censé comprendre, non ? C'est bien ce qu'il a essayé de me faire passer comme message, non ?
<link href='https://fonts.googleapis.com/css?family=Grand+Hotel' rel='stylesheet' type='text/css'><link href="https://docs.google.com/uc?id=0B-03nlg6LspiSVpHNDZyRnVveTQ" rel="stylesheet" type="text/css"><style>fr25ficheclaire {display:block; width:490px; position:relative; height:600px; margin:auto; margin-top:10px;} fr25ficheclaire ::-webkit-scrollbar {width:9px; background:#DDD;} fr25ficheclaire ::-webkit-scrollbar-track {width:2px; background:#fff; border-left:3px solid #fff; border-right: 4px solid #fff;} fr25ficheclaire ::-webkit-scrollbar-thumb {background:#DDD; border:3px solid #fff;}</style><fr25ficheclaire><fr25fondback style="background:#B3D7D4; box-shadow: 1px 1px 1px grey;"></fr25fondback><fr25fondcentre style="background:#DAEAE7; box-shadow: 1px 1px 1px grey;"></fr25fondcentre><fr25fondrp style="background:#fff; font-family:grand hotel; font-size:30px; text-shadow:0px 0px 2px #DAEAE7; line-height:27px; border-bottom:20px solid white; box-shadow: 1px 1px 1px grey;"><fr25titre style="color:#B3D7D4;"><span style="font-size:20px;">▲▼</span> De drôles de retrouvailles.</fr25titre><fr25txt style="font-size:12px; font-family:verdana; line-height:13px; color:#333;">Je suis de ceux qui en veulent toujours plus. Je suis de ces avides qui s'attaquent à trop avares. Je suis de ceux qui grattent pour l'amour et qui ne récoltent que de la merde. Je suis de ceux qui sont incompris. Je suis de ceux qui ne comprennent pas. Je me prends l'injustice comme un bus en pleine gueule. Et pourquoi moi j'y ai pas droit, à ce que bien d'autres ont ? Qu'est-ce qui cloche chez moi ? Qu'est-ce qui cloche chez nous ? Les mots du brun, ils s'abattent, tels mille et un poignards en plein buste, déchirant les restes de mon cœur déjà bien foutu en lambeaux. Qu'est-ce qui cloche chez nous ? Et pourquoi moi j'y ai pas droit ?
Que mes tympans explosent. Que la surdité se pointe. Je préférerais crever que d'entendre ça.
Je sais pas si il essaye de me raisonner. Je sais pas si il cherche à me blesser. A me briser. Je sais pas ce qu'il veut. Mais ça me tue. Mais ça me rend fou. Il ne voit pas la gravité que je remarque. Merde aux conséquences. Et qu'est-ce que je suis censé faire ? Et qu'est-ce que je suis censé dire ? Quand je constate à quel point il en a rien à branler de ma gueule, à quel point il me rejette alors que ma vie tourne littéralement autour de son petit nombril. Je sais que c'est lamentable, je sais que c'est même pire que ça. Je suis pathétique et pourtant j'y peux rien. Ce mec je l'ai pire que dans la peau. Je l'ai dans les veines, je l'ai dans l'air que je respire, je l'ai partout. Il me transforme en créature, un truc à peine encore humain. Ou peut-être trop humain. Je me laisse atteindre, je me laisse fracasser. Je vais en crever. Comment je pourrais ne pas crever quand je vois à quel point il me balance. Il s'en bat les couilles de moi. Putain… Je sais pas si je dois chialer ou gueuler. Je sais pas si je dois péter les plombs ou juste me barrer. Il me fout à bout de nerfs avec si peu. Je suis à fleur de peau. Rien que l'idée que je puisse encore le perdre me rend malade. Alors que ouais, je me rends bien compte que lui, il serait bien content de se débarrasser de moi. C'est bien ce que j'étais censé comprendre, non ? C'est bien ce qu'il a essayé de me faire passer comme message, non ?
<link href='https://fonts.googleapis.com/css?family=Grand+Hotel' rel='stylesheet' type='text/css'><link href="https://docs.google.com/uc?id=0B-03nlg6LspiSVpHNDZyRnVveTQ" rel="stylesheet" type="text/css"><style>fr25ficheclaire {display:block; width:490px; position:relative; height:600px; margin:auto; margin-top:10px;} fr25ficheclaire ::-webkit-scrollbar {width:9px; background:#DDD;} fr25ficheclaire ::-webkit-scrollbar-track {width:2px; background:#fff; border-left:3px solid #fff; border-right: 4px solid #fff;} fr25ficheclaire ::-webkit-scrollbar-thumb {background:#DDD; border:3px solid #fff;}</style><fr25ficheclaire><fr25fondback style="background:#CC97CB; box-shadow: 1px 1px 1px grey;"></fr25fondback><fr25fondcentre style="background:#F8AFF2; box-shadow: 1px 1px 1px grey;"></fr25fondcentre><fr25fondrp style="background:#fff; font-family:grand hotel; font-size:30px; text-shadow:0px 0px 2px #DAEAE7; line-height:27px; border-bottom:20px solid white; box-shadow: 1px 1px 1px grey;"><fr25titre style="color:#CC97CB;"><span style="font-size:20px;">▲▼</span> De drôles de retrouvailles.</fr25titre><fr25txt style="font-size:12px; font-family:verdana; line-height:13px; color:#333;">Je suis de ceux qui en veulent toujours plus. Je suis de ces avides qui s'attaquent à trop avares. Je suis de ceux qui grattent pour l'amour et qui ne récoltent que de la merde. Je suis de ceux qui sont incompris. Je suis de ceux qui ne comprennent pas. Je me prends l'injustice comme un bus en pleine gueule. Et pourquoi moi j'y ai pas droit, à ce que bien d'autres ont ? Qu'est-ce qui cloche chez moi ? Qu'est-ce qui cloche chez nous ? Les mots du brun, ils s'abattent, tels mille et un poignards en plein buste, déchirant les restes de mon cœur déjà bien foutu en lambeaux. Qu'est-ce qui cloche chez nous ? Et pourquoi moi j'y ai pas droit ?
Que mes tympans explosent. Que la surdité se pointe. Je préférerais crever que d'entendre ça.
Je sais pas si il essaye de me raisonner. Je sais pas si il cherche à me blesser. A me briser. Je sais pas ce qu'il veut. Mais ça me tue. Mais ça me rend fou. Il ne voit pas la gravité que je remarque. Merde aux conséquences. Et qu'est-ce que je suis censé faire ? Et qu'est-ce que je suis censé dire ? Quand je constate à quel point il en a rien à branler de ma gueule, à quel point il me rejette alors que ma vie tourne littéralement autour de son petit nombril. Je sais que c'est lamentable, je sais que c'est même pire que ça. Je suis pathétique et pourtant j'y peux rien. Ce mec je l'ai pire que dans la peau. Je l'ai dans les veines, je l'ai dans l'air que je respire, je l'ai partout. Il me transforme en créature, un truc à peine encore humain. Ou peut-être trop humain. Je me laisse atteindre, je me laisse fracasser. Je vais en crever. Comment je pourrais ne pas crever quand je vois à quel point il me balance. Il s'en bat les couilles de moi. Putain… Je sais pas si je dois chialer ou gueuler. Je sais pas si je dois péter les plombs ou juste me barrer. Il me fout à bout de nerfs avec si peu. Je suis à fleur de peau. Rien que l'idée que je puisse encore le perdre me rend malade. Alors que ouais, je me rends bien compte que lui, il serait bien content de se débarrasser de moi. C'est bien ce que j'étais censé comprendre, non ? C'est bien ce qu'il a essayé de me faire passer comme message, non ?
<link href='https://fonts.googleapis.com/css?family=Grand+Hotel' rel='stylesheet' type='text/css'><link href="https://docs.google.com/uc?id=0B-03nlg6LspiSVpHNDZyRnVveTQ" rel="stylesheet" type="text/css"><style>fr25fichesombre {display:block; width:490px; position:relative; height:600px; margin:auto; margin-top:10px;} fr25fichesombre ::-webkit-scrollbar {width:9px; background:#111;} fr25fichesombre ::-webkit-scrollbar-track {width:2px; background:#000; border-left:3px solid #000; border-right: 4px solid #000;} fr25fichesombre ::-webkit-scrollbar-thumb {background:#111; border:3px solid #000;}</style><fr25fichesombre><fr25fondback style="background:#4c282b; box-shadow: 1px 1px 1px #000;"></fr25fondback><fr25fondcentre style="background:#251518; box-shadow: 1px 1px 1px #000;"></fr25fondcentre><fr25fondrp style="background:#000000; font-family:grand hotel; font-size:30px; text-shadow:0px 0px 2px #111111; line-height:27px;border-bottom:20px solid #000; box-shadow: 1px 1px 1px #000;"><fr25titre style="color:#4c282b;"><span style="font-size:20px;">▲▼</span> De drôles de retrouvailles.</fr25titre><fr25txt style="font-size:12px; font-family:verdana; line-height:13px; color:#aaa;">Je suis de ceux qui en veulent toujours plus. Je suis de ces avides qui s'attaquent à trop avares. Je suis de ceux qui grattent pour l'amour et qui ne récoltent que de la merde. Je suis de ceux qui sont incompris. Je suis de ceux qui ne comprennent pas. Je me prends l'injustice comme un bus en pleine gueule. Et pourquoi moi j'y ai pas droit, à ce que bien d'autres ont ? Qu'est-ce qui cloche chez moi ? Qu'est-ce qui cloche chez nous ? Les mots du brun, ils s'abattent, tels mille et un poignards en plein buste, déchirant les restes de mon cœur déjà bien foutu en lambeaux. Qu'est-ce qui cloche chez nous ? Et pourquoi moi j'y ai pas droit ?
Que mes tympans explosent. Que la surdité se pointe. Je préférerais crever que d'entendre ça.
Je sais pas si il essaye de me raisonner. Je sais pas si il cherche à me blesser. A me briser. Je sais pas ce qu'il veut. Mais ça me tue. Mais ça me rend fou. Il ne voit pas la gravité que je remarque. Merde aux conséquences. Et qu'est-ce que je suis censé faire ? Et qu'est-ce que je suis censé dire ? Quand je constate à quel point il en a rien à branler de ma gueule, à quel point il me rejette alors que ma vie tourne littéralement autour de son petit nombril. Je sais que c'est lamentable, je sais que c'est même pire que ça. Je suis pathétique et pourtant j'y peux rien. Ce mec je l'ai pire que dans la peau. Je l'ai dans les veines, je l'ai dans l'air que je respire, je l'ai partout. Il me transforme en créature, un truc à peine encore humain. Ou peut-être trop humain. Je me laisse atteindre, je me laisse fracasser. Je vais en crever. Comment je pourrais ne pas crever quand je vois à quel point il me balance. Il s'en bat les couilles de moi. Putain… Je sais pas si je dois chialer ou gueuler. Je sais pas si je dois péter les plombs ou juste me barrer. Il me fout à bout de nerfs avec si peu. Je suis à fleur de peau. Rien que l'idée que je puisse encore le perdre me rend malade. Alors que ouais, je me rends bien compte que lui, il serait bien content de se débarrasser de moi. C'est bien ce que j'étais censé comprendre, non ? C'est bien ce qu'il a essayé de me faire passer comme message, non ?
<link href='https://fonts.googleapis.com/css?family=Grand+Hotel' rel='stylesheet' type='text/css'><link href="https://docs.google.com/uc?id=0B-03nlg6LspiSVpHNDZyRnVveTQ" rel="stylesheet" type="text/css"><style>fr25fichesombre {display:block; width:490px; position:relative; height:600px; margin:auto; margin-top:10px;} fr25fichesombre ::-webkit-scrollbar {width:9px; background:#111;} fr25fichesombre ::-webkit-scrollbar-track {width:2px; background:#000; border-left:3px solid #000; border-right: 4px solid #000;} fr25fichesombre ::-webkit-scrollbar-thumb {background:#111; border:3px solid #000;}</style><fr25fichesombre><fr25fondback style="background:#336834; box-shadow: 1px 1px 1px #000;"></fr25fondback><fr25fondcentre style="background:#07500d; box-shadow: 1px 1px 1px #000;"></fr25fondcentre><fr25fondrp style="background:#000000; font-family:grand hotel; font-size:30px; text-shadow:0px 0px 2px #111111; line-height:27px;border-bottom:20px solid #000; box-shadow: 1px 1px 1px #000;"><fr25titre style="color:#336834;"><span style="font-size:20px;">▲▼</span> De drôles de retrouvailles.</fr25titre><fr25txt style="font-size:12px; font-family:verdana; line-height:13px; color:#aaa;">Je suis de ceux qui en veulent toujours plus. Je suis de ces avides qui s'attaquent à trop avares. Je suis de ceux qui grattent pour l'amour et qui ne récoltent que de la merde. Je suis de ceux qui sont incompris. Je suis de ceux qui ne comprennent pas. Je me prends l'injustice comme un bus en pleine gueule. Et pourquoi moi j'y ai pas droit, à ce que bien d'autres ont ? Qu'est-ce qui cloche chez moi ? Qu'est-ce qui cloche chez nous ? Les mots du brun, ils s'abattent, tels mille et un poignards en plein buste, déchirant les restes de mon cœur déjà bien foutu en lambeaux. Qu'est-ce qui cloche chez nous ? Et pourquoi moi j'y ai pas droit ?
Que mes tympans explosent. Que la surdité se pointe. Je préférerais crever que d'entendre ça.
Je sais pas si il essaye de me raisonner. Je sais pas si il cherche à me blesser. A me briser. Je sais pas ce qu'il veut. Mais ça me tue. Mais ça me rend fou. Il ne voit pas la gravité que je remarque. Merde aux conséquences. Et qu'est-ce que je suis censé faire ? Et qu'est-ce que je suis censé dire ? Quand je constate à quel point il en a rien à branler de ma gueule, à quel point il me rejette alors que ma vie tourne littéralement autour de son petit nombril. Je sais que c'est lamentable, je sais que c'est même pire que ça. Je suis pathétique et pourtant j'y peux rien. Ce mec je l'ai pire que dans la peau. Je l'ai dans les veines, je l'ai dans l'air que je respire, je l'ai partout. Il me transforme en créature, un truc à peine encore humain. Ou peut-être trop humain. Je me laisse atteindre, je me laisse fracasser. Je vais en crever. Comment je pourrais ne pas crever quand je vois à quel point il me balance. Il s'en bat les couilles de moi. Putain… Je sais pas si je dois chialer ou gueuler. Je sais pas si je dois péter les plombs ou juste me barrer. Il me fout à bout de nerfs avec si peu. Je suis à fleur de peau. Rien que l'idée que je puisse encore le perdre me rend malade. Alors que ouais, je me rends bien compte que lui, il serait bien content de se débarrasser de moi. C'est bien ce que j'étais censé comprendre, non ? C'est bien ce qu'il a essayé de me faire passer comme message, non ?
Quand j'étais gosse, j'étais déjà bien moche. J'avais déjà ma sale gueule qui ne me revient pas. A peu près autant qu'elle revient à personne. J'me souviens bien qu'il y avait pas une seule bonne âme pour pouvoir m'encadrer. J'étais sale et mal élevé. J'étais un de ces mioches niqués d'la tête du genre de ceux qui t'font marmonner dans ta barbe au supermarché, à la boulangerie, dans la rue. A peu près n'importe où ailleurs aussi. J'étais turbulent et violent. J'étais provoquant et insolant. T'avais juste un mot à dire pour que j'te crache à la gueule. Ou sur le bide plutôt, vu la taille que j'faisais. Quand j'étais gamin j'avais les cheveux longs, jusqu'aux fesses et tellement dégueulasses qu'ils étaient lisses. Tu trouves vraiment que j'ai une gueule à me foutre des bigoudis ? Non. Donc on est d'accord, c'était pas naturel.
J'espère pour toi qu't'étais pas en train de bouffer. Sinon c'est ballot.
T'sais, j'avais pas d'amis, pas d'goûter, pas d'jouets pis les teubées de maîtresses s'étonnaient que je raquette les autres à la récré. Sérieux ? Comment on peut s'étonner qu'un chien galeux vole quand il passe ses journées à être nargué par les autres ? T'sais, les autres, ceux qu'aiment pas les bâtards ni les fils de pute. Les autres, qui ont des vieux « braves et respectables » qui leur ont appris que les plus pauvres, les moins aidés, ne sont que des merdes et encore moins que ça. Putain de bourges. L'enfant a toujours la même valeur que ses parents, hein. Peu importe si c'est pas sa faute s'il est né dans une famille de tarés. Bordel. S't'avais vu la gueule des mamans, les jolies, les vraies mamans qui sentent bon, quand elles voyaient la pute qui était la mienne venir me chercher avec ses quelques centimètres carrés de tissus sur le cul et les seins, ses faux cils de pouffiasse et son affreux rouge à lèvres rose bonbon. C'te connasse qui regardait tout le monde de haut comme si elle était la reine - la reine des poules, peut-être - et qui, la nuit, était contrainte de faire les poubelles pour nourrir son empaffé de mari et son crétin de môme. Même moi j'pouvais pas la saquer ma mère, t'sais. C'est fou comme elle me faisait honte. Comme quand elle se ramenait, j'avais juste envie de creuser et de m'enterrer.
Elle était bizarre ma mère. Elle était cinglée, ma geôlière.
<link href='https://fonts.googleapis.com/css?family=Playfair+Display' rel='stylesheet' type='text/css'><link href="https://docs.google.com/uc?id=0B-03nlg6LspiTm1NY0ttUWhQM0U" rel="stylesheet" type="text/css"><style>fr26fond {border:1px solid white; background:url() center center; background-size:210%;} fr26fond ::-webkit-scrollbar {width:9px; background:#cfdfdf;} fr26fond ::-webkit-scrollbar-track {width:1px; background:#cfdfdf; border-left:4px solid #cfdfdf; border-right: 4px solid #cfdfdf;} fr26fond ::-webkit-scrollbar-thumb {background:#fff; border:4px solid #cfdfdf;} fr26blocimg {background:cadetblue; line-height:normal;} fr26blocimg img {width:136px; margin-left:2px; margin-top:2px;} fr26texterp {background:#cfdfdf; text-align:justify; color:#333; font-family:verdana; font-size:12px; line-height:normal;} fr26titre {font-family:playfair display; font-size:25px; text-transform:uppercase; color:#1f4d4e; text-align:center; letter-spacing:3px; line-height:27px; font-weight:bold;} fr26soustitre {font-family:playfair display; font-size:14px; text-transform:uppercase; color:grey; text-align:center; letter-spacing:5px; line-height:14px; margin-bottom:12px;} fr26ligne {width:50%; height:1px; background:#444; margin-top:5px;}</style><fr26fond><fr26fond2><fr26blocimg><img src="http://image.noelshack.com/fichiers/2016/44/1478104952-tumblr-ob92a9tkkh1ur69r9o1-400.jpg"/><img src="http://image.noelshack.com/fichiers/2016/44/1478104952-tumblr-ob92a9tkkh1ur69r9o6-400.jpg"/><img src="http://image.noelshack.com/fichiers/2016/44/1478104952-tumblr-ob92a9tkkh1ur69r9o4-400.jpg"/></fr26blocimg><fr26blocrp><fr26texterp><fr26titre>unfortunately not invisible</fr26titre><fr26soustitre>Maxiam ♥</fr26soustitre><fr26ligne></fr26ligne><div style="padding:15px 10px;">Quand j'étais gosse, j'étais déjà bien moche. J'avais déjà ma sale gueule qui ne me revient pas. A peu près autant qu'elle revient à personne. J'me souviens bien qu'il y avait pas une seule bonne âme pour pouvoir m'encadrer. J'étais sale et mal élevé. J'étais un de ces mioches niqués d'la tête du genre de ceux qui t'font marmonner dans ta barbe au supermarché, à la boulangerie, dans la rue. A peu près n'importe où ailleurs aussi. J'étais turbulent et violent. J'étais provoquant et insolant. T'avais juste un mot à dire pour que j'te crache à la gueule. Ou sur le bide plutôt, vu la taille que j'faisais. Quand j'étais gamin j'avais les cheveux longs, jusqu'aux fesses et tellement dégueulasses qu'ils étaient lisses. Tu trouves vraiment que j'ai une gueule à me foutre des bigoudis ? Non. Donc on est d'accord, c'était pas naturel.
J'espère pour toi qu't'étais pas en train de bouffer. Sinon c'est ballot.
T'sais, j'avais pas d'amis, pas d'goûter, pas d'jouets pis les teubées de maîtresses s'étonnaient que je raquette les autres à la récré. Sérieux ? Comment on peut s'étonner qu'un chien galeux vole quand il passe ses journées à être nargué par les autres ? T'sais, les autres, ceux qu'aiment pas les bâtards ni les fils de pute. Les autres, qui ont des vieux « braves et respectables » qui leur ont appris que les plus pauvres, les moins aidés, ne sont que des merdes et encore moins que ça. Putain de bourges. L'enfant a toujours la même valeur que ses parents, hein. Peu importe si c'est pas sa faute s'il est né dans une famille de tarés. Bordel. S't'avais vu la gueule des mamans, les jolies, les vraies mamans qui sentent bon, quand elles voyaient la pute qui était la mienne venir me chercher avec ses quelques centimètres carrés de tissus sur le cul et les seins, ses faux cils de pouffiasse et son affreux rouge à lèvres rose bonbon. C'te connasse qui regardait tout le monde de haut comme si elle était la reine - la reine des poules, peut-être - et qui, la nuit, était contrainte de faire les poubelles pour nourrir son empaffé de mari et son crétin de môme. Même moi j'pouvais pas la saquer ma mère, t'sais. C'est fou comme elle me faisait honte. Comme quand elle se ramenait, j'avais juste envie de creuser et de m'enterrer.
<link href='https://fonts.googleapis.com/css?family=Playfair+Display' rel='stylesheet' type='text/css'><link href="https://docs.google.com/uc?id=0B-03nlg6LspiX1pTSGdPREFVZjA" rel="stylesheet" type="text/css"><style>fr26fondr {border:1px solid darkred; background:url() center center; background-size:210%;} fr26fondr ::-webkit-scrollbar {width:9px; background:antiquewhite;} fr26fondr ::-webkit-scrollbar-track {width:1px; background:antiquewhite; border-left:4px solid antiquewhite; border-right: 4px solid antiquewhite;} fr26fondr ::-webkit-scrollbar-thumb {background:brown; border:4px solid antiquewhite;} fr26blocimgr {background:brown; line-height:normal;} fr26blocimgr img {width:136px; margin-left:2px; margin-top:2px;} fr26texterpr {background:antiquewhite; text-align:justify; color:#333; font-family:verdana; font-size:12px; line-height:normal;} fr26titrer {font-family:playfair display; font-size:25px; text-transform:uppercase; color:darkred; text-align:center; letter-spacing:3px; line-height:27px; font-weight:bold;} fr26soustitrer {font-family:playfair display; font-size:14px; text-transform:uppercase; color:grey; text-align:center; letter-spacing:5px; line-height:14px; margin-bottom:12px;} fr26ligner {width:50%; height:1px; background:#444; margin-top:5px;}</style><fr26fondr><fr26fond2r><fr26blocimgr><img src="http://image.noelshack.com/fichiers/2016/44/1478104629-tumblr-n17o4h7iij1qgblfmo3-250.gif"/><img src="http://image.noelshack.com/fichiers/2016/44/1478104629-my-mad-fat-diary-image-my-mad-fat-diary-36676473-245-175.gif"/><img src="http://image.noelshack.com/fichiers/2016/44/1478104629-my-mad-fat-diary-image-my-mad-fat-diary-36676481-245-175.gif"/></fr26blocimgr><fr26blocrpr><fr26texterpr><fr26titrer>unfortunately not invisible</fr26titrer><fr26soustitrer>Maxiam ♥</fr26soustitrer><fr26ligner></fr26ligner><div style="padding:15px 10px;">Quand j'étais gosse, j'étais déjà bien moche. J'avais déjà ma sale gueule qui ne me revient pas. A peu près autant qu'elle revient à personne. J'me souviens bien qu'il y avait pas une seule bonne âme pour pouvoir m'encadrer. J'étais sale et mal élevé. J'étais un de ces mioches niqués d'la tête du genre de ceux qui t'font marmonner dans ta barbe au supermarché, à la boulangerie, dans la rue. A peu près n'importe où ailleurs aussi. J'étais turbulent et violent. J'étais provoquant et insolant. T'avais juste un mot à dire pour que j'te crache à la gueule. Ou sur le bide plutôt, vu la taille que j'faisais. Quand j'étais gamin j'avais les cheveux longs, jusqu'aux fesses et tellement dégueulasses qu'ils étaient lisses. Tu trouves vraiment que j'ai une gueule à me foutre des bigoudis ? Non. Donc on est d'accord, c'était pas naturel.
J'espère pour toi qu't'étais pas en train de bouffer. Sinon c'est ballot.
T'sais, j'avais pas d'amis, pas d'goûter, pas d'jouets pis les teubées de maîtresses s'étonnaient que je raquette les autres à la récré. Sérieux ? Comment on peut s'étonner qu'un chien galeux vole quand il passe ses journées à être nargué par les autres ? T'sais, les autres, ceux qu'aiment pas les bâtards ni les fils de pute. Les autres, qui ont des vieux « braves et respectables » qui leur ont appris que les plus pauvres, les moins aidés, ne sont que des merdes et encore moins que ça. Putain de bourges. L'enfant a toujours la même valeur que ses parents, hein. Peu importe si c'est pas sa faute s'il est né dans une famille de tarés. Bordel. S't'avais vu la gueule des mamans, les jolies, les vraies mamans qui sentent bon, quand elles voyaient la pute qui était la mienne venir me chercher avec ses quelques centimètres carrés de tissus sur le cul et les seins, ses faux cils de pouffiasse et son affreux rouge à lèvres rose bonbon. C'te connasse qui regardait tout le monde de haut comme si elle était la reine - la reine des poules, peut-être - et qui, la nuit, était contrainte de faire les poubelles pour nourrir son empaffé de mari et son crétin de môme. Même moi j'pouvais pas la saquer ma mère, t'sais. C'est fou comme elle me faisait honte. Comme quand elle se ramenait, j'avais juste envie de creuser et de m'enterrer.
<link href='https://fonts.googleapis.com/css?family=Playfair+Display' rel='stylesheet' type='text/css'><link href="https://docs.google.com/uc?id=0B-03nlg6LspiYzBwb1VOSDljSjg" rel="stylesheet" type="text/css"><style>fr26fondv {border:1px solid #009966; background:url() center center; background-size:210%;} fr26fondv ::-webkit-scrollbar {width:9px; background:ghostwhite;} fr26fondv ::-webkit-scrollbar-track {width:1px; background:ghostwhite; border-left:4px solid ghostwhite; border-right: 4px solid ghostwhite;} fr26fondv ::-webkit-scrollbar-thumb {background:#339966; border:4px solid ghostwhite;} fr26blocimgv {background:#339966; line-height:normal;} fr26blocimgv img {width:136px; margin-left:2px; margin-top:2px;} fr26texterpv {background:ghostwhite; text-align:justify; color:#333; font-family:verdana; font-size:12px; line-height:normal;} fr26titrev {font-family:playfair display; font-size:25px; text-transform:uppercase; color:#009933; text-align:center; letter-spacing:3px; line-height:27px; font-weight:bold;} fr26soustitrev {font-family:playfair display; font-size:14px; text-transform:uppercase; color:grey; text-align:center; letter-spacing:5px; line-height:14px; margin-bottom:12px;} fr26lignev {width:50%; height:1px; background:#444; margin-top:5px;}</style><fr26fondv><fr26fond2v><fr26blocimgv><img src="http://image.noelshack.com/fichiers/2016/44/1478104807-tumblr-ndlbw7lxen1u024rko4-2502.png"/><img src="http://image.noelshack.com/fichiers/2016/44/1478104807-tumblr-o6eu0rjgwf1sltcefo2-250.gif"/><img src="http://image.noelshack.com/fichiers/2016/44/1478104807-tumblr-inline-n81po1d5ld1sd1ix12.png"/></fr26blocimgv><fr26blocrpv><fr26texterpv><fr26titrev>unfortunately not invisible</fr26titrev><fr26soustitrev>Maxiam ♥</fr26soustitrev><fr26lignev></fr26lignev><div style="padding:15px 10px;">Quand j'étais gosse, j'étais déjà bien moche. J'avais déjà ma sale gueule qui ne me revient pas. A peu près autant qu'elle revient à personne. J'me souviens bien qu'il y avait pas une seule bonne âme pour pouvoir m'encadrer. J'étais sale et mal élevé. J'étais un de ces mioches niqués d'la tête du genre de ceux qui t'font marmonner dans ta barbe au supermarché, à la boulangerie, dans la rue. A peu près n'importe où ailleurs aussi. J'étais turbulent et violent. J'étais provoquant et insolant. T'avais juste un mot à dire pour que j'te crache à la gueule. Ou sur le bide plutôt, vu la taille que j'faisais. Quand j'étais gamin j'avais les cheveux longs, jusqu'aux fesses et tellement dégueulasses qu'ils étaient lisses. Tu trouves vraiment que j'ai une gueule à me foutre des bigoudis ? Non. Donc on est d'accord, c'était pas naturel.
J'espère pour toi qu't'étais pas en train de bouffer. Sinon c'est ballot.
T'sais, j'avais pas d'amis, pas d'goûter, pas d'jouets pis les teubées de maîtresses s'étonnaient que je raquette les autres à la récré. Sérieux ? Comment on peut s'étonner qu'un chien galeux vole quand il passe ses journées à être nargué par les autres ? T'sais, les autres, ceux qu'aiment pas les bâtards ni les fils de pute. Les autres, qui ont des vieux « braves et respectables » qui leur ont appris que les plus pauvres, les moins aidés, ne sont que des merdes et encore moins que ça. Putain de bourges. L'enfant a toujours la même valeur que ses parents, hein. Peu importe si c'est pas sa faute s'il est né dans une famille de tarés. Bordel. S't'avais vu la gueule des mamans, les jolies, les vraies mamans qui sentent bon, quand elles voyaient la pute qui était la mienne venir me chercher avec ses quelques centimètres carrés de tissus sur le cul et les seins, ses faux cils de pouffiasse et son affreux rouge à lèvres rose bonbon. C'te connasse qui regardait tout le monde de haut comme si elle était la reine - la reine des poules, peut-être - et qui, la nuit, était contrainte de faire les poubelles pour nourrir son empaffé de mari et son crétin de môme. Même moi j'pouvais pas la saquer ma mère, t'sais. C'est fou comme elle me faisait honte. Comme quand elle se ramenait, j'avais juste envie de creuser et de m'enterrer.
<link href='https://fonts.googleapis.com/css?family=Playfair+Display' rel='stylesheet' type='text/css'><link href="https://docs.google.com/uc?id=0B-03nlg6LspiTXVZM01FOFlCN1E" rel="stylesheet" type="text/css"><style>fr26fondn {border:1px solid black; background:url() center center; background-size:210%;} fr26fondn ::-webkit-scrollbar {width:9px; background:#333;} fr26fondn ::-webkit-scrollbar-track {width:1px; background:#333; border-left:4px solid #333; border-right: 4px solid #333;} fr26fondn ::-webkit-scrollbar-thumb {background:white; border:4px solid #333;} fr26blocimgn {background:#111; line-height:normal;} fr26blocimgn img {width:136px; margin-left:2px; margin-top:2px;} fr26texterpn {background:#333; text-align:justify; color:#AAA; font-family:verdana; font-size:12px; line-height:normal;} fr26titren {font-family:playfair display; font-size:25px; text-transform:uppercase; color:white; text-align:center; letter-spacing:3px; line-height:27px; font-weight:bold;} fr26soustitren {font-family:playfair display; font-size:14px; text-transform:uppercase; color:#CCC; text-align:center; letter-spacing:5px; line-height:14px; margin-bottom:12px;} fr26lignen {width:50%; height:1px; background:#CCC; margin-top:5px;}</style><fr26fondn><fr26fond2n><fr26blocimgn><img src="http://image.noelshack.com/fichiers/2016/44/1478104256-tumblr-n2a35jdbur1qfr7d7o1-250.gif"/><img src="http://image.noelshack.com/fichiers/2016/44/1478104256-tumblr-n2a35jdbur1qfr7d7o3-r1-250.gif"/><img src="http://image.noelshack.com/fichiers/2016/44/1478104256-tumblr-n2a35jdbur1qfr7d7o4-r1-250.gif"/></fr26blocimgn><fr26blocrpn><fr26texterpn><fr26titren>unfortunately not invisible</fr26titren><fr26soustitren>Maxiam ♥</fr26soustitren><fr26lignen></fr26lignen><div style="padding:15px 10px;">Quand j'étais gosse, j'étais déjà bien moche. J'avais déjà ma sale gueule qui ne me revient pas. A peu près autant qu'elle revient à personne. J'me souviens bien qu'il y avait pas une seule bonne âme pour pouvoir m'encadrer. J'étais sale et mal élevé. J'étais un de ces mioches niqués d'la tête du genre de ceux qui t'font marmonner dans ta barbe au supermarché, à la boulangerie, dans la rue. A peu près n'importe où ailleurs aussi. J'étais turbulent et violent. J'étais provoquant et insolant. T'avais juste un mot à dire pour que j'te crache à la gueule. Ou sur le bide plutôt, vu la taille que j'faisais. Quand j'étais gamin j'avais les cheveux longs, jusqu'aux fesses et tellement dégueulasses qu'ils étaient lisses. Tu trouves vraiment que j'ai une gueule à me foutre des bigoudis ? Non. Donc on est d'accord, c'était pas naturel.
J'espère pour toi qu't'étais pas en train de bouffer. Sinon c'est ballot.
T'sais, j'avais pas d'amis, pas d'goûter, pas d'jouets pis les teubées de maîtresses s'étonnaient que je raquette les autres à la récré. Sérieux ? Comment on peut s'étonner qu'un chien galeux vole quand il passe ses journées à être nargué par les autres ? T'sais, les autres, ceux qu'aiment pas les bâtards ni les fils de pute. Les autres, qui ont des vieux « braves et respectables » qui leur ont appris que les plus pauvres, les moins aidés, ne sont que des merdes et encore moins que ça. Putain de bourges. L'enfant a toujours la même valeur que ses parents, hein. Peu importe si c'est pas sa faute s'il est né dans une famille de tarés. Bordel. S't'avais vu la gueule des mamans, les jolies, les vraies mamans qui sentent bon, quand elles voyaient la pute qui était la mienne venir me chercher avec ses quelques centimètres carrés de tissus sur le cul et les seins, ses faux cils de pouffiasse et son affreux rouge à lèvres rose bonbon. C'te connasse qui regardait tout le monde de haut comme si elle était la reine - la reine des poules, peut-être - et qui, la nuit, était contrainte de faire les poubelles pour nourrir son empaffé de mari et son crétin de môme. Même moi j'pouvais pas la saquer ma mère, t'sais. C'est fou comme elle me faisait honte. Comme quand elle se ramenait, j'avais juste envie de creuser et de m'enterrer.
the air around me still feels like a cageSHANAEL ♥Quand j'étais gosse, j'étais déjà bien moche. J'avais déjà ma sale gueule qui ne me revient pas. A peu près autant qu'elle revient à personne. J'me souviens bien qu'il y avait pas une seule bonne âme pour pouvoir m'encadrer. J'étais sale et mal élevé. J'étais un de ces mioches niqués d'la tête du genre de ceux qui t'font marmonner dans ta barbe au supermarché, à la boulangerie, dans la rue. A peu près n'importe où ailleurs aussi. J'étais turbulent et violent. J'étais provoquant et insolant. T'avais juste un mot à dire pour que j'te crache à la gueule. Ou sur le bide plutôt, vu la taille que j'faisais. Quand j'étais gamin j'avais les cheveux longs, jusqu'aux fesses et tellement dégueulasses qu'ils étaient lisses. Tu trouves vraiment que j'ai une gueule à me foutre des bigoudis ? Non. Donc on est d'accord, c'était pas naturel.
J'espère pour toi qu't'étais pas en train de bouffer. Sinon c'est ballot.
T'sais, j'avais pas d'amis, pas d'goûter, pas d'jouets pis les teubées de maîtresses s'étonnaient que je raquette les autres à la récré. Sérieux ? Comment on peut s'étonner qu'un chien galeux vole quand il passe ses journées à être nargué par les autres ? T'sais, les autres, ceux qu'aiment pas les bâtards ni les fils de pute. Les autres, qui ont des vieux « braves et respectables » qui leur ont appris que les plus pauvres, les moins aidés, ne sont que des merdes et encore moins que ça. Putain de bourges. L'enfant a toujours la même valeur que ses parents, hein. Peu importe si c'est pas sa faute s'il est né dans une famille de tarés. Bordel. S't'avais vu la gueule des mamans, les jolies, les vraies mamans qui sentent bon, quand elles voyaient la pute qui était la mienne venir me chercher avec ses quelques centimètres carrés de tissus sur le cul et les seins, ses faux cils de pouffiasse et son affreux rouge à lèvres rose bonbon. C'te connasse qui regardait tout le monde de haut comme si elle était la reine - la reine des poules, peut-être - et qui, la nuit, était contrainte de faire les poubelles pour nourrir son empaffé de mari et son crétin de môme. Même moi j'pouvais pas la saquer ma mère, t'sais. C'est fou comme elle me faisait honte. Comme quand elle se ramenait, j'avais juste envie de creuser et de m'enterrer.
<link href="https://fonts.googleapis.com/css?family=Glegoo|Kelly Slab" rel="stylesheet"><link href="https://docs.google.com/uc?id=0B-03nlg6LspiZExOTG9pdG1iOU0" rel="stylesheet" type="text/css"><fr27fond style="background:white; box-shadow:1px 1px 1px grey; color:black; font-family:verdana; line-height:normal; font-size:12px;"><fr27blocinvisible></fr27blocinvisible><fr27rond><fr27face1 style="background:url(http://image.noelshack.com/fichiers/2016/44/1478114680-giphy.gif) center center; background-size:100%"><fr27face2 style="background:url(http://image.noelshack.com/fichiers/2016/44/1478114680-tumblr-inline-o1hocqi2yd1qlt39u-500.gif) center center; background-size:100%"></fr27face2></fr27face1></fr27rond><fr27titre style="text-align:center; color:steelblue; font-family:Kelly Slab; font-size:25px;">the air around me still feels like a cage</fr27titre><fr27soustitre style="color:grey; font-size:12px; font-family:Glegoo; font-style:italic; text-align:center;">SHANAEL ♥</fr27soustitre><fr27ligne></fr27ligne>Quand j'étais gosse, j'étais déjà bien moche. J'avais déjà ma sale gueule qui ne me revient pas. A peu près autant qu'elle revient à personne. J'me souviens bien qu'il y avait pas une seule bonne âme pour pouvoir m'encadrer. J'étais sale et mal élevé. J'étais un de ces mioches niqués d'la tête du genre de ceux qui t'font marmonner dans ta barbe au supermarché, à la boulangerie, dans la rue. A peu près n'importe où ailleurs aussi. J'étais turbulent et violent. J'étais provoquant et insolant. T'avais juste un mot à dire pour que j'te crache à la gueule. Ou sur le bide plutôt, vu la taille que j'faisais. Quand j'étais gamin j'avais les cheveux longs, jusqu'aux fesses et tellement dégueulasses qu'ils étaient lisses. Tu trouves vraiment que j'ai une gueule à me foutre des bigoudis ? Non. Donc on est d'accord, c'était pas naturel.
J'espère pour toi qu't'étais pas en train de bouffer. Sinon c'est ballot.
T'sais, j'avais pas d'amis, pas d'goûter, pas d'jouets pis les teubées de maîtresses s'étonnaient que je raquette les autres à la récré. Sérieux ? Comment on peut s'étonner qu'un chien galeux vole quand il passe ses journées à être nargué par les autres ? T'sais, les autres, ceux qu'aiment pas les bâtards ni les fils de pute. Les autres, qui ont des vieux « braves et respectables » qui leur ont appris que les plus pauvres, les moins aidés, ne sont que des merdes et encore moins que ça. Putain de bourges. L'enfant a toujours la même valeur que ses parents, hein. Peu importe si c'est pas sa faute s'il est né dans une famille de tarés. Bordel. S't'avais vu la gueule des mamans, les jolies, les vraies mamans qui sentent bon, quand elles voyaient la pute qui était la mienne venir me chercher avec ses quelques centimètres carrés de tissus sur le cul et les seins, ses faux cils de pouffiasse et son affreux rouge à lèvres rose bonbon. C'te connasse qui regardait tout le monde de haut comme si elle était la reine - la reine des poules, peut-être - et qui, la nuit, était contrainte de faire les poubelles pour nourrir son empaffé de mari et son crétin de môme. Même moi j'pouvais pas la saquer ma mère, t'sais. C'est fou comme elle me faisait honte. Comme quand elle se ramenait, j'avais juste envie de creuser et de m'enterrer.
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Pain without love, pain can't get enough, pain I like it rough 'cause I'd rather feel pain than nothing at all ••• L'écoeurante mélasse de mes pensées s'échappe peu à peu en quelques volutes de fumées. Elles se tordent et me rappellent mon instinct premier. Le chanvre brûlé m'apaise, lentement, je m'évade loin des autres. Loin de cette humanité qui fait qu'on en oublie d'être humains. Notre bipédie nous a rendus prétentieux et pourris à l'intérieur. Je vendrais au diable tout le matérialisme humain, tout ce qui fait qu'on est des terroristes de nature, tous les liens qui nous unissent juste pour qu'on en ai plus rien à foutre. L'Homme est dégueulasse. J'veux courir à poil dans les près et m'abreuver de l'eau qui nous tombe du ciel. J'veux me laver dans une rivière glaciale et bouffer de l'herbe comme une chèvre. Mais j'suis coincé dans cette décharge de connerie humaine où on me fout jamais la paix.
